1. Un nouveau collègue


    Datte: 29/04/2024, Catégories: fh, ff, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, Masturbation caresses, intermast, Oral pénétratio, rencontre, occasion, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... admirer la chute de reins de ma Séverine…) et ne lisais que peu.
    
    Journée de travail harassante, client détestable, mais Bastien me surprit par un calme imperturbable et une amabilité constante avec le crétin qui nous avait mandatés, un type imbu de lui-même, arrogant, prétentieux et qui ne pouvait s’empêcher de lorgner mon cul et mes seins à la moindre occasion.
    
    En fin de journée nous nous rendîmes à l’hôtel en marchant, histoire de nous aérer un peu l’esprit. Bastien se montra pour le moins surprenant.
    
    — De toute évidence, Magali, il vous trouve à son goût, le connard à lunettes, et ma présence n’a pas eu l’air de l’enchanter quand il prenait vos mensurations, ce qu’il a fait avec application toute la journée. Un ancien couturier peut-être ?
    
    J’éclatai de rire, surprise de ce commentaire pas vraiment habituel chez mon collègue, plutôt réservé question relations humaines, surtout avec les femmes.
    
    — Oui, j’ai remarqué, il ne devait pas apprécier ma tenue et rêvait certainement de m’en débarrasser, ce con.
    — Vous êtes pourtant toujours vêtue avec goût, affichant une élégance distinguée qui vous sied à merveille.
    —(Un peu agressive) Vous avez aussi scanné mes mensurations, cher collègue ? Vous voulez que l’on parle chiffres ? On commence par quoi ? Mes fesses ? Mes seins ?
    —(Surpris) Oh Magali, je vous en prie, vous savez très bien que je ne m’abaisse pas à pareille attitude grossière, d’autant que… que…
    
    Là, je sentis qu’il avait parlé trop vite, que quelque ...
    ... chose lui avait échappé, alors je sortis les griffes pour le pousser à exprimer le fond de sa pensée.
    
    — Autant dire franchement que mon gros cul et mes nibards ne vous plaisent pas « Maître », et que le docteur en droit ne saurait s’abaisser à reluquer un boudin comme sa collègue. Soyez honnête, je ne me formaliserai pas.
    
    Il s’arrêta au milieu du trottoir, comme sidéré par ma réponse aussi méchante que directe.
    
    — Pourquoi cette soudaine agressivité, Magali ? Je ne crois pas m’être montré inconvenant à votre égard et, puisque vous voulez le savoir, votre silhouette est des plus séduisantes et tout à fait à mon goût, ce qui ne doit malheureusement avoir aucune importance pour vous, j’imagine.
    — Vous imaginez ? Mais vous imaginez quoi ? Vous ne me connaissez pas beaucoup, alors, comment savoir ce qui est important pour moi ? Vous voulez me dire quoi exactement, arrêtez de tourner autour du pot, nous sommes entre adultes.
    
    Toujours plantés au milieu du trottoir, nous étions dans une bien curieuse situation. C’est Bastien qui reprit le contrôle et proposa une halte à la terrasse d’un café voisin. Nous avions l’air d’un couple de touristes, assis côte à côte, nos valises à roulettes à nos pieds.
    
    — Vous me poussez dans mes retranchements, Magali, mais je respecte votre franchise et vais essayer de m’en montrer digne. Vous le savez, je vis un divorce difficile, et entre ma femme, son avocate et la juge qui gère le dossier, j’ai en ce moment un regard un peu particulier ...
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