Résumé des ébats
Datte: 25/04/2024,
Catégories:
fff,
fplusag,
jeunes,
vacances,
plage,
campagne,
fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
Masturbation
uro,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... se fonce sur leur bout. Mais, pour Chantal, la particularité la plus étonnante de son hôtesse se situe au creux de sa fourche. Des lèvres épaissies de la vulve, s’échappent de larges nymphes dont la taille inhabituelle lui a évoqué l’image poétique des Nymphéas chers à Monet, et qui portent toujours la marque que l’initiation et la période de noviciat de la dame ont laissée à travers ses chairs les plus fragiles. Une touffe soignée, éclaircie par l’âge, décore le sexe, tandis que la raie culière imberbe dissimule sans pudeur exagérée une rosette souple et tonique.
D’un aimable 95C, les seins lourds de Chantal ne font pas sa fierté. Elle s’en console par la sensibilité de leurs bouts clairs aux tétons courts et épais, ornant de larges aréoles sur des mamelons peu prononcés. Sa toison brune, fournie et bouclée, dessine un triangle parfait depuis la radicale épilation à sec de tout poil superflu, y compris dans les plus cachés replis. Le duvet du sillon fessier reste à éliminer pour mettre en valeur un œillet bistre aussi lisse que le large périnée. De leur fine commissure au bref capuchon qu’elles enserrent, les fortes lèvres glabres révèlent une courte fente rose d’où émergent les délicats festons plus sombres de leurs sœurs intimes, et d’où pointe souvent le petit haricot d’un clitoris facilement érectile.
Les seins pointus de Anaïs, comme ceux de Manon, respirent la jeunesse. L’incarnat des framboises qui les surmontent avantagent la première. La seconde se ...
... rattrape en présentant un minuscule ticket de métro sur un pubis rasé de près au-dessus d’une faille longue aux formes discrètes. Tout au contraire, une rustique broussaille noire envahissait celui de Anaïs. Elle est maintenant mieux disciplinée, dévoilant les fuseaux bombés des lèvres et un mignon bouton saillant à la jointure des nymphes en amandes.
La poitrine de Marie lui fut source de complexe, comme son intimité jusqu’à ce qu’elle s’en ouvre à Chantal. Des globes trop pleins à son goût lui semblaient d’une mollesse coupable que ne rachetaient pas les belles fraises oblongues plantées au bout de mamelons confondus avec les aréoles. Il n’y a pourtant rien de tombant à son âge, mais plutôt des seins joliment pigeonnant à la moindre excitation. Quant à sa craquette, ainsi qu’elle nomme ingénument sa vulve sous le sombre buisson dont elle s’accommode, elle lui reprochait d’être dotée de deux fragiles appendices dont la longueur conséquente démentait l’appellation de petites lèvres.
Le tendre émerveillement de Chantal et les compliments sincères de celles à qui Marie a osé s’exhiber ont fait litière de ses craintes, dont le souvenir même s’est effacé à la découverte des nymphéas de Colette.
Les mêmes préoccupations pour des raisons différentes auraient pu tourmenter Janine, et peut-être était-ce le cas quand « Gwladys » entra en Noviciat. Mais il y a longtemps que l’altière Notaire d’aujourd’hui n’éprouve aucune honte, ni pour ses tétons qui pointent vers le bas, ni pour ...