1. Un Nuit Dans Un Château


    Datte: 24/04/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: byPalinnka, Source: Literotica

    ... --toujours- tu fais mine de rien, comme si la douleur ne te déchirais pas. Tu ne m'offriras pas ce plaisir, du moins pas pour le moment. Je laisse la cuillère dans ton trou, et tu commences à t'habituer à cette sensation, nouvelle, difficile à dompter, mais finalement pas si désagréable.
    
    Je te demande de te lever, et tu t'exécutes immédiatement, la cuillère toujours plantée dans toi. Mais la douleur est passée, ne reste que le plaisir, cette sensation chaude qui t'envahie. Mais je ne vais pas te laisser ce plaisir pour longtemps. Je prends la cravache, la même qui a servie à me fouetter quelques minutes plutôt, et les yeux rivés dans les tiens, je t'ordonne de te branler. Interdiction d'éjaculer. Tu te branles, de plus en plus vite, sans jamais me perdre des yeux. Mais tu prends trop de plaisir, je lâche le premier coup de cravache, en plein sur ta raie, ce qui fait tomber la cuillère. De surprise et de douleur, tu te cambres et arrêtes toute activité, un deuxième coup et je t'assène de continuer à te branler. Il faut que ça brule. Un troisième coup sur tes testicules, et tu tombes par terre, en criant et en jurant. Tu n'es qu'un faible. Tu n'as qu'à me lécher, mais cette fois c'est moi qui oblige ton visage à venir s'écraser contre ma chatte qui n'arrête pas de mouiller, toute ta face est contre moi, tu étouffes, tu suffoques, mais ta queue délaissée n'en devient que plus dure.
    
    J'attrape un bout de ficelle qui reste et fais un nœud coulant autour de ta bite. Au ...
    ... moindre faux pas, je tire la corde, qui enserrera ta verge, la cisaillant en deux. La peur de cette corde te fait oublier de me sucer, ce qui est un faux pas. Je tire sec sur la corde, ta bite se trouve tiraillée en deux parties, elle devient rouge, du sang gonfle les veines et grossit par la même occasion la taille du chibre, qui n'arrive plus à se contrôler. La violence du coup te mets par terre, sur le dos, à peine conscient. Je détache la corde et me mets à te sucer, doucement, mécaniquement. Je t'enjambe, et rentre ta bite dans ma chatte à présent trempée, et en retrouvant tes esprits nous nous pénétrons mutuellement, comme si nous rentrions à l'intérieur de l'autre.
    
    Lettre 5 [lui] :
    
    Tu me chevauches pendant de longues minutes, régulièrement tu me griffes le torse. Ton bassin ondule sur mon sexe, tu te fais apparemment plus douce mais pourtant tu gardes la cravache dans une de tes mains, prête à me frapper au moindre faux-pas. Nos corps ne font qu'un. Je lèche tes seins, te mordille avec un désir intense. La cravache est toujours dans tes mains. Précisément au moment où je l'oublie tu m'assènes un coup sur les jambes. Tu m'ordonnes de me lever et je m'exécute, puis tu me bandes les yeux. En finissant mon geste, tu effleures ma queue mouillée. Un peu de sperme sort du gland. Tu me prends par la main et commence à m'emmener quelque part. Tu me prends par la queue, encore endolorie. Je te demande où on va, tu ne me réponds mais tu serres ma queue encore plus fort. Je sens ...
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