1. Un Nuit Dans Un Château


    Datte: 24/04/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: byPalinnka, Source: Literotica

    ... jusqu'à ce que je heurte une table. Tu me hisses sur son rebord, et très doucement tu m'embrasses, d'abord dans le cou, sur les épaules, tu me mordilles le lobe d'oreille. Enfin tu fais pénétrer ta langue dans ma bouche, avec vigueur, tout en m'empoignant les seins, au rythme de notre baiser. Tu t'interromps soudainement, je cherche ton regard, tu me fixes droit dans les yeux, et joueuse, je fais de même. Sans que je n'aie le temps de comprendre quoique ce soit, tu me gifles la joue droite avec tant de vigueur que mes yeux s'emplissent de larme. Je continue à te regarder dans les yeux. Sans nous quitter du regard tu descends doucement, très doucement, à hauteur de mon sexe, que tu commences à lécher de haut en bas, toujours les yeux plantés dans les miens. Ta langue épouse la forme de mes lèvres, effleure mon clitoris, et alors que ma respiration se fait de plus en plus irrégulière, tu insères un doigt dans mon vagin, très vite rejoint par un deuxième. Tu les laisses se balader, taper contre mes parois, chercher toujours plus loin. Bientôt tu fais pénétrer un troisième doigt, et tu les écartes, plantés dans mon vagin, le plus fort que tu peux, jusqu'à m'en faire gémir de douleur. Tu continues toujours à me regarder fixement, en écartant toujours plus, en me léchant parfois. En te relevant tu m'effleures la joue, la même que tu as giflé quelques minutes plus tôt. Puis tu me pousses en arrière, brutalement, et mon dos cogne la table. Tu ramènes mes fesses le plus au bord de ...
    ... la table possible et écartes mes jambes, de sorte que je m'offre tout à toi. Tu frottes ton sexe dur contre ma vulve trempée, je te supplie de rentrer en moi mais tu m'ignores. Ma respiration est de plus en plus forte et ton sexe de plus en plus dur. Enfin, tu me pénètres, avec une telle force que je gémis de douleur. Tu fais plusieurs va-et-vient, très fort, et de plus en plus rapidement. Tes mains se baladent sur mon corps, agrippent mes seins, les frappent, les malaxent. Je me retiens de crier, j'ai peur que tu te fâches...
    
    Tu te retires, aussi brusquement que tu es venu, et m'ordonne de me mettre sur le ventre. Je m'exécute. Je ne peux plus te voir. J'entends tes pas derrière moi, tu attrapes quelque chose dans la pièce. Je t'entends revenir, je frémis. Je sens quelque chose de froid sur mon anus, tu viens de cracher. Sans détour tu y rentres un doigt, tu fais quelques allers, le retire, et y insère à la place une longue bougie de cire, allumée, que tu as récupéré dans la pièce. Je ne dois pas bouger, je n'ose respirer. Tu claques ta main sur ma fesses droite, y laissant une marque rouge vive, je sursaute, de douleur et de surprise. Je sens de la cire qui coule lentement sur mes grandes lèvres, se mélangeant à ma mouille, j'ai la tête qui tourne tellement j'ai mal, je respire fort, tu m'interdis de gémir, encore moins de jouir. Je ne sais pas combien de temps je vais tenir, mais je t'obéis.
    
    Lettre 3 [lui] :
    
    La bougie fond doucement. Chaque goutte de cire te fait ...
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