1. Charlotte succombe


    Datte: 19/04/2024, Catégories: ff, caférestau, voyage, toilettes, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme odeurs, caresses, intermast, Oral 69, init, journal, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... Une masturbation sans pénétration, à peine un doigt entre ses lèvres, mais en les pressant de plus en plus, peut-être en chatouillant le trou à pipi, si sensible, mais sans insister, frottant son gros bouton que je sentais rouler sous ma paume, et s’y heurter parfois, quand elle se cambrait…
    
    Elle s’est arquée dans un orgasme soudain. J’ai senti couler contre mes doigts une mouille très grasse. Je m’en suis rapidement barbouillé le nez et la bouche pour enfin connaître vraiment son odeur intime. C’était fort et excitant, un mélange saturé de cyprine marine et de sueur âcre, pimenté de la fragrance acidulée de son dernier pipi. J’ai passé ma langue sur mes lèvres pour apprécier ce miel onctueux, amer et iodé, tout en continuant à pétrir sa chatte charnue pour accompagner la dernière houle de jouissance. Je n’ai pas pu résister à me masturber en même temps.
    
    Je ne lui ai pas laissé le temps de se reprendre, et j’ai fait descendre ma bouche de ses seins sur son ventre, petits bisous, petits suçons, de plus en plus bas… Elle avait trop envie de jouir encore pour refuser ma bouche sur sa vulve. J’ai changé de position. J’ai glissé mes hanches vers ses épaules, les cuisses écartées pour lui exposer mon intimité, simplement pour qu’elle me voit, me respire si elle voulait, mais sans l’obliger à plus. Je savais que ma cramouille était au moins aussi trempée et odorante que la sienne, sinon plus…
    
    Elle s’est bloquée un instant, avant de se détendre. J’ai léché ses grosses ...
    ... lèvres, parcouru ses festons intimes, aplati et étiré ses longues nymphes, enroulé ma langue autour de son gros bourgeon turgescent avant de le gober doucement. Je l’ai laissée s’habituer à ce contact nouveau. Puis j’ai tété son clitoris dressé, très tendrement, sans aspirer trop fort, en mettant un doigt, puis deux dans sa grotte. Je l’ai doigtée lentement, de plus en plus loin, attentive à ses soupirs, ses gémissements. J’ai senti sa joue se poser sur ma cuisse, tout près de mon entaille parfumée.
    
    J’ai caressé son vagin du bout de mes doigts, cherchant l’endroit le plus sensible, le plus ondulé. Quand j’ai senti que j’y étais, j’ai frotté plus vite, pressé plus fort… Je me suis appliquée à trouver le geste qui ferait le plus entendre le clapotis de sa mouille dont ses nymphes étaient baignées, qui dégagerait le plus ouvertement les odeurs de son sexe dont je m’emplissais les narines, qui offrirait le plus de cette crème nacrée dont un filet suintait sur son périnée.
    
    Elle a commencé à gémir plus fort, de façon plus saccadée. Enfin j’ai senti son souffle sur mes lèvres vaginales, puis même la caresse de sa bouche. J’ai alterné mon mouvement, vite et doucement, essayant de la faire monter en tension le plus possible. Il aurait fallu d’autres mains pour s’occuper de ses tétons. Les vôtres, mes chéries. Vous, au moins, vous auriez mangé mon minou et mon petit trou !
    
    Ça a duré un bon moment, un peu grâce à moi, beaucoup parce qu’elle était encore un peu réticente malgré son ...
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