1. Secret médical


    Datte: 19/04/2024, Catégories: h, fplusag, médical, poilu(e)s, école, douche, fdomine, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral occasion, Auteur: François Angler, Source: Revebebe

    ... voulais échapper à l’envoûtement de la belle métisse en éloignant mes pensées érotiques, je n’ai fait que les décupler. Cette dernière finit par pivoter afin de se tourner vers le médecin. Celle-ci se remet prestement debout, masquant à ma vue ses trésors. Elle reste là immobile, un large sourire illuminant son visage. L’élève infirmière retourne vers le bureau sans prêter plus d’attention à ma personne. Elle communique ma taille au praticien qui le note sur mon dossier.
    
    Au moment où elle se tourne vers moi, elle prend conscience de mon état émotionnel. La stupeur se lit sur son visage, elle écarquille les yeux, elle fixe mon entrejambe. Elle tourne la tête vers la doctoresse, qui lui sourit, visiblement amusée par la scène qui se joue dans le cabinet médical. La jeune surveillante me fixe droit dans les yeux puis son regard ne peut résister à fixer mon bas-ventre. Elle essaye de détourner les yeux, mais n’y parvient pas. Elle se trémousse sur place, elle semble défaillir et est contrainte de s’appuyer contre le bord du bureau pour éviter de tomber. Elle est visiblement troublée.
    
    — Monsieur Germon, vous n’avez pas honte ! dit-elle.
    — Oui, mademoiselle, notre jeune patient nous offre une belle érection.
    — Et cela ne vous choque pas ?
    — Cela arrive de temps en temps durant des consultations. Je crains que nous ne soyons à l’origine de cet émoi.
    — Nous… ? Mais je n’ai rien fait pour, je vous le jure.
    — Ce jeune homme vous dévore des yeux depuis qu’il est rentré dans ...
    ... cette pièce. Et je le comprends, vous êtes très belle.
    — Je ne voulais pas. Je…
    — Vous n’êtes pas la seule responsable. Je crains de l’avoir troublé involontairement. N’est-ce pas, jeune homme ?
    
    Dans un premier temps, je ne sais trop quoi dire. Ces deux femmes n’ont rien fait en soi pour générer mon érection, seule mon imagination en est à l’origine. Je regarde alternativement la jolie métisse et la doctoresse. Je baisse la tête, penaud, m’attendant à une punition comme mon père en use souvent à mon encontre, gifle dans le meilleur des cas et coups de ceinturons sur mes fesses, pantalon baissé, dans le pire des cas. C’est en partie pour cela que j’ai été placé en internat dès le début du collège. Si mes parents l’apprennent, je vais déguster. C’est honteux que j’explique les raisons de mon émoi.
    
    — Je suis désolé. Depuis notre rencontre de ce matin, mademoiselle, votre seule présence engendre chez moi des réactions physiques auxquelles je ne suis pas habitué. Et en voulant y échapper, j’ai observé avec intérêt votre corps, madame, et vous dégagez une telle sensualité que je n’ai pu m’empêcher de bander.
    — Vous divaguez, monsieur Germon. Je ne puis rester et je vais de ce pas en référer au CPE.
    
    Le ton cinglant de la surveillante me glace.
    
    — Mademoiselle, vous n’allez en référer à personne. Nous sommes dans une consultation médicale, la réaction de ce jeune homme est plutôt saine. Si vous voulez partir, eh bien, partez ! Mais si vous dites quoi que ce soit à qui ...
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