Secret médical - Histoires de Sexe

Secret médical

... elle fait sept centimètres au repos, vous serez dans la moyenne, mais c’est seulement en dessous de cinq centimètres que vous seriez considéré comme hors norme. À première vue, vous me semblez dans la moyenne.

Elle glisse mon sexe sur la règle froide et je peux voir la mesure.

— Vous êtes dans la norme.
— Vous êtes sûre ?
— Voyez vous-même !

Le chiffre indique 68 mm.

— La taille du sexe au repos ne préfigure pas sa taille en érection. Voulez-vous que nous la mesurions aussi dans cet état ?
— Oui, madame. Mais je ne sais pas si je vais réussir, cela ne se commande pas.
— Tout à l’heure, votre imagination vous a bien aidé, mais je peux la stimuler.
— La stimuler ?
— Je parle de votre imagination. Vous sembliez très intéressé à regarder sous ma blouse…
— Les filles de mon âge ne portent pas de bas…

Le médecin revient à son bureau, me faisant face, elle s’appuie contre le meuble.

— Je tiens à vous prévenir, je suis ceinture noire de karaté, au moindre geste déplacé et je vous mets K.O..
— Euh… D’accord.

Elle sourit et me fait un signe de tête. Ses mains se posent sur ses cuisses à plat, avant de descendre vers le bas de sa blouse. Je ne comprends pas très bien ce qu’elle va faire. Je suis là, nu, et je pourrais essayer de commencer à me caresser pour avoir une érection, mais je guette chacun de ses gestes. Ses doigts défont le bouton le plus bas de sa blouse. Je réalise qu’elle va me montrer peut-être le haut de ses cuisses. Je suis attentif, dans ...

... l’attente de la suite des événements. Le premier bouton est déboutonné, les doigts remontent dix centimètres plus haut, s’attaquant à un second bouton blanc. Je relève la tête vers son visage. Elle me sourit et me fixe intensément la bite.

— Je crois que je dois continuer… votre queue a besoin de plus de stimulation.
— Euh… oui… je peux m’astiquer ?
— Si vous avez envie, ne vous gênez pas.

Là, je n’en ai pas foncièrement envie. J’ai surtout envie de voir jusqu’où vont aller les choses. Le troisième bouton est situé au niveau de son pubis. Elle le défait et, lentement, s’assoit sur le coin du bureau tout en croisant les jambes, cachant de la sorte sa culotte à ma vue. Je suis subjugué par ses jambes et ses bas noirs, un motif imitant des lacets est dessiné sur le haut de ses cuisses. C’est très excitant.

— Vos bas sont magnifiques, madame.
— Merci, jeune homme.

Sans me toucher, à la simple vue de ce corps qui se dévoile, ma queue prend du volume. J’espère ardemment que cette femme continue jusqu’au haut de sa blouse. Je ne veux pas me toucher le sexe et bander trop vite, ce qui stopperait probablement son effeuillage. Je comprends mieux son allusion à ne pas la toucher, et je ne veux surtout pas rompre le charme.

Ses doigts poursuivent le déboutonnage de la blouse, voilà le dernier bouton de défait. D’un coup, les pans du vêtement s’ouvrent, révélant son corps et une poitrine aux seins lourds contenus dans un soutien-gorge noir qui ne cache pas la beauté des ...