1. Un gang-bang qui tourne mal Ch. 03


    Datte: 18/04/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bytrouchard, Source: Literotica

    ... que ce soit d'autre. Déclare sérieusement le chef.
    
    Derrière lui, tous ses amis acquiescent.
    
    - Oh, je... Commencé-je.
    
    Mais je ne sais pas trop que répondre à ça. Je veux dire que ce n'est pas une situation à laquelle je suis habituée. Il n'y a pas d'enseignement pour apprendre à se comporter après un dur gang-bang.
    
    - Je... je me suis amusée. Dis-je doucement.
    
    Au moment où je le fais, je sens mon visage devenir rouge en me rappelant ce qu'ils m'ont fait. Me faire marcher nue dehors à la vue de tout le monde. Me faire faire des fellations à chacun d'eux dans le jardin. Me faire fouetter. Mais au moment où j'ai ces pensées, je me souviens clairement des messages où je mentionnais ces sévices, où j'en parlais et où je disais que ce serait amusant d'essayer. Tout ce qu'ils m'ont fait, c'est ce que je voulais essayer.
    
    - Nous aussi. Et nous avons une belle vidéo pour nous souvenir de toi! Dit-il alors que son sourire vicieux réapparaît.
    
    Je ressens des picotements dans ma chatte à cette idée. La pensée qu'ils vont me regarder, qu'ils vont revoir ce qu'ils m'ont fait, sans doute en se branlant, me fait me sentir... bien. Comme si j'étais une salope qui donne envie. Ça me fait me sentir sexy. Je me sens désirée. Je n'ai pas ressenti ça depuis longtemps. L'idée que la vidéo puisse être diffusée sur un site pornographique ne me vient même pas à l'esprit.
    
    J'ouvre la bouche pour dire quelque chose comme « Peut-être qu'on le refera », mais non. Je ne vais quand même ...
    ... pas dire ça. Je pense qu'après cette nuit je vais avoir besoin d'aller voir un psy. C'est bien la première fois de ma vie que je reconnais que je veux être une salope. Ceci dit ce n'est peut-être pas une mauvaise chose. C'est mon corps après tout, j'en use et j'en abuse comme je veux. Et pour une fois, je n'ai pas honte de ma sexualité.
    
    Alors je me retourne et je m'en vais. Les étudiants ne bougent pas, ils restent fidèles à leur parole. En marchant, je me dis qu'ils auront besoin de guérir aussi. Une bite ne peut pas tout supporter sur une seule nuit et ils ont sûrement voulu en faire trop.
    
    En gloussant à cette pensée incongrue, je rejoins ma voiture. Au loin, je vois le groupe qui me regarde toujours. Mais maintenant ils sont flous tellement ils sont loin. Je me dis que c'est comme ça probablement que je me souviendrai d'eux. Des visages et des corps flous, car le souvenir de la soirée s'estompe et seules les émotions restent.
    
    Je prends mes clés de voiture dans le pot où je les ai cachées et je récupère mes affaires dans mon coffre puis je me dirige vers le côté conducteur. J'ouvre la porte, je monte, dépose mes affaires sur le siège passager et je démarre. En conduisant, je me sens à la fois heureuse de m'éloigner de cet endroit, mais j'ai aussi un peu de regret. Est-ce que j'aurais pu choisir de rester avec eux pour toujours? Être leur pute à demeure qu'ils abuseraient quand ils le voudraient? Je dois admettre que je frissonne à ces idées.
    
    Avec un sourire sur ...