Un gang-bang qui tourne mal Ch. 03
Datte: 18/04/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bytrouchard, Source: Literotica
... auparavant, ils ressemblent maintenant à des hommes sérieux et droits. Le genre d'homme qui ne blesserait ou n'agresserait jamais une femme dans la vie réelle.
- Tu devrais prendre quelques jours de congé pour te reposer. Le processus de guérison ira plus vite. Et si j'étais toi, je prendrais aussi des vitamines, sans oublier un supplément de fer. Ça aidera pour résorber les ecchymoses. Dit le chef en ayant l'air de savoir réellement de ce qu'il parle.
Plus je marche, plus je sens mes forces revenir. Je commence à marcher presque normalement. Les gars me tiennent toujours, mais je me sens beaucoup plus solide. Comme si j'étais endolorie par une séance de gym et que je persévère pour me sentir mieux.
- Ton corps mettra quelques semaines, voire quelques mois, à revenir à la normale, mais si tu ne vois pas de progression de la guérison au bout d'une semaine, tu devras aller consulter un médecin. Ajoute le chef à la sortie du parc.
Je le regarde pour essayer de comprendre s'il est en train de me raconter des histoires ou s'il sait vraiment ce qu'il dit.
- Je fais des études de médecine. Mentionne-t-il avec un sourire.
Je réponds par un « Ahh », mais je ne dis rien d'autre. Nous quittons le parc pour retourner d'où nous sommes venus. Nous sommes sur le trottoir sur lequel ils m'ont fait marcher nue en faisant rebondir ma poitrine un peu plus tôt. À ce stade, je me sens mieux et je peux marcher sans aide. Alors doucement j'enlève mes bras de leurs mains sans ...
... vouloir leur donner l'impression de dire « Lâchez-moi! ». Je suis capable de marcher comme si de rien n'était. Je tiens le peignoir fermé, même si je n'en ai pas besoins puisque la ceinture est bien nouée. C'est juste que je me sens encore nue, même si je ne le suis pas. Mais après tout, ils m'ont déjà vue comme ça. Je dois reconnaître que le peignoir est confortable. Il semble neuf comme s'ils l'avaient acheté pour moi.
- Je suppose que c'est la tienne? Demande le chef alors que l'on voit au loin ma voiture garée dans la rue secondaire.
Je hoche la tête pour dire oui en pensant que n'importe qui aurait deviné que c'est ma voiture étant donné que c'est la seule garée dans la rue. Nous nous dirigeons lentement vers elle, et pour la première fois, je n'ai plus peur d'eux.
- Bon, je pense que c'est ici que nous allons nous dire au revoir. Dit soudainement le chef.
Je me retourne pour le regarder, encore un peu confuse. Après tout ce qu'ils m'ont fait ce soir, c'est un peu bizarre de l'entendre dire qu'ils ne vont plus rien me faire et me laisser partir.
- Ainsi personne d'entre nous n'aura vu les plaques de ta voiture. Si nous restons ici, tu pourras être sûre qu'aucun d'entre nous n'essaiera de te retrouver, même si je sais que ça restera dans ton esprit. C'est normal, car après tout, nous avons été très durs avec toi ce soir. Je suis sûr que tu feras peut-être quelques cauchemars à ce sujet, mais tu n'as pas besoin de t'inquiéter. Nous ne te traquerons pas ou quel ...