1. Histoire de partouzes


    Datte: 12/07/2019, Catégories: Partouze / Groupe Inceste / Tabou Lesbienne Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... avec des hommes qui pouvaient avoir l’âge de son père. Elle ne s’en est pas privée. Je me souviens l’avoir observée du coin de l’œil, un soir, en compagnie d’un homme qui approchait de la soixantaine, tandis que son épouse me suçait. Ils s’embrassaient avec la langue, ce qui était très rare, pendant que l’homme tirait lentement sur l’élastique de sa culotte pour la faire glisser le long de ses cuisses. Hélène malaxait délicatement ses couilles.
    
    J’aimais la voir se déshabiller devant des hommes. J’aimais qu’elle dégrafe son soutien-gorge, quand elle en portait un, et que d’autres que moi voient ses nichons. J’aimais la voir baisser sa culotte, quand elle en mettait une, de préférence en me tournant le dos. J’adorais voir son cul apparaître de cette façon, en sachant qu’elle allait se le faire bouffer sous mes yeux dans les minutes qui suivaient.
    
    J’aimais la voir enrouler sa langue autour d’un gland gonflé qui n’était pas le mien, et des queues s’enfouir tout entières dans sa bouche. J’avais aussi pris goût à voir des coulées de sperme déborder de sa bouche, et croiser son regard au cours de ces instants.
    
    Un soir où nous étions seuls, elle m’a dit :
    
    « J’adore voir ta queue pénétrer des chattes. »
    
    Je lui ai répondu :
    
    « J’adore voir ta chatte accueillir des queues. »
    
    Nous étions complices et nous ne cessions pas de baiser tous les deux, ni de fantasmer, ni de mater des vidéos sur Internet. Nous dialoguions tous les soirs avec des couples qui nous avaient ...
    ... contactés, et nous parcourions de même le site à la recherche de nouveaux partenaires. Nous habitions dans une grande ville et nous avions l’embarras du choix. Des centaines de couples souhaitaient partouzer autour de nous et, quotidiennement, des nouveaux s’inscrivaient. S’ils nous convenaient, nous leur sautions dessus, quand ce n’était pas eux qui le faisaient.
    
    Notre record était de cinq partouzes en une semaine, dont un samedi où nous en avons fait deux. Une en journée et une le soir, avec deux couples différents. En me couchant cette nuit-là, ma queue était toute engourdie, je me souviens. J’avais éjaculé trois fois en tout, dont une sur le ventre d’Hélène. Car nous baisions naturellement ensemble au cours de nos rencontres. J’aimais en particulier la pénétrer juste après qu’un autre l’ait fait, ou pendant qu’elle suçait une bite sous mes yeux. J’aimais aussi la prendre tandis qu’une femme se tenait à califourchon sur sa bouche.
    
    Hélène aimait les chattes, elle ne me l’avait jamais caché. Au moment de notre rencontre, elle avait déjà une bonne dizaine de filles à son palmarès. Des amies de lycée ou de fac, des voisines de quartier ou des copines d’un été. En revanche, je n’avais jamais sucé de bites dans ma jeunesse. Les mecs n’étaient pas mon truc, mais j’avoue m’être laissé tenter à plusieurs reprises au cours d’une partouze. Sous l’effet de l’alcool, sans doute, mais aussi parce qu’une complicité s’était établie, je me souviens avoir laissé un homme plus jeune que ...
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