1. Histoire de partouzes


    Datte: 12/07/2019, Catégories: Partouze / Groupe Inceste / Tabou Lesbienne Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... être lourd. Une fois sur trois, nous lui rappelions que nous ne cherchions que des couples, et alors il se calmait pendant quelques jours, puis revenait à la charge, mais toujours de façon courtoise. Cela nous amusait, Hélène et moi, à tel point que Maxime était parvenu à s’immiscer dans nos conversations. Nous parlions de lui sans l’avoir rencontré, à la façon d’une entité, d’un camarade virtuel improbable. Nous riions de lui, mais gentiment. Nous le savions seul chez lui, devant son écran, à la recherche obstinée d’un couple qui voudrait bien l’accueillir.
    
    Nous l’aimions bien, au fond. C’était de l’ordre de l’intuition. Nous étions persuadés que Maxime était un homme correct, vicieux probablement, mais empli de bonnes manières. En tout cas j’en étais convaincu, et je gardais aussi en tête le fait que Maxime avait le même âge que le père d’Hélène. Pour autant, elle n’avait pas relevé ce détail. En tout cas, pas ouvertement. Par la suite, elle m’avouerait qu’elle n’avait pas cessé d’y penser, sans oser me le dire, de peur que je le prenne mal et à cause du fait que nous avions convenu dès le départ de ne rencontrer que des couples, pas des hommes seuls.
    
    Alors j’ai attendu l’approche de l’anniversaire d’Hélène pour écrire à Maxime en cachette. Elle allait avoir 32 ans.
    
    Hélène n’en était pas revenue. Nous en étions à notre deuxième verre de kir ce soir-là, quand on avait sonné à l’interphone.
    
    Je m’étais aussitôt levé en disant :
    
    « Oh, je crois que c’est ton ...
    ... cadeau d’anniversaire qui arrive. »
    
    Quand Maxime est entré dans le salon, elle est montée rouge. Elle a balbutié un « bonsoir » et ils se sont fait la bise. C’était très amusant à voir, d’autant que Maxime était parfaitement au courant du complot.
    
    Il s’est assis près d’Hélène, dans le canapé, et je lui ai servi un verre. J’ai rempli celui d’Hélène, puis le mien, et nous avons trinqué. Maxime était tel qu’on l’avait imaginé : aimable, poli, attachant. Un chic type. Nous avons longtemps parlé tous les trois, ce soir-là, je me souviens. Parlé, ri et bu. Une personne extérieure aurait pu jurer que nous étions des amis de longue date, tellement les paroles et les gestes semblèrent aller de soi. Un vieux copain, un collègue, un ami de la famille…
    
    Puis, assez tard dans la soirée, je dirais au septième ou huitième kir, entre deux sujets de conversation, j’ai dit à Maxime :
    
    « Hélène te plait ? »
    
    Surpris, il s’est tourné vers elle, comme pour être bien certain que la jeune femme assise à ses côtés était l’objet de la question, puis il est revenu à moi pour répondre :
    
    « Elle est mignonne comme tout. »
    
    J’ai ajouté :
    
    « Tu aimerais voir ses seins ? »
    
    Il s’est de nouveau tourné vers Hélène, dont les yeux brillaient. Elle portait une élégante robe blanche, ce soir-là. Elle n’avait pas de soutien-gorge, ça se voyait comme le nez au milieu de la figure. A plusieurs reprises, quand elle s’était penchée pour prendre son verre et le reposer, j’avais aperçu un téton qui ...
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