1. Quelle journée de m...e


    Datte: 16/04/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Queuedusexe, Source: Hds

    ... ?
    
    Pierre est passé sur moi, calé dans la fourche de mes cuisses. Je n’arrivais pas à croire ce que je vivais, ce que j’entendais.
    
    - Maintenant que je t’ai trouvé, je ne te laisserai jamais t’en aller. Tu en as conscience ?
    
    - …
    
    Son sexe m’empalait lentement.
    
    - Ce n’est pas la dernière fois Magalie ! C’est l’une des premières !
    
    Ses yeux sondaient les miens.
    
    - Je n’ai jamais connu ça ! Tu le ressens ?
    
    - Oui Pierre ! Fais-moi l’amour ! OOOOHHHHHH ! PIERRE !
    
    - Comme ça mon amour ?
    
    - OUI !
    
    - Tout au fond pour que tu me sentes bien !
    
    - OUI !
    
    - Ou bien juste là ! Tu es sensible ici !
    
    - Oh MON DIEU ! OUI ! Comme tu veux… Quand tu veux !
    
    Les suite n’a été que caresses, baisers et petits cris de jouissances. Nos corps s’imbriquent si bien. J’ai senti son corps trembler, sa jouissance proche. Il a continué à bouger, lentement et sensuellement, et ses râles de plaisir à quelques centimètres de mon oreille m’ont fait fondre complètement, déclenchant un dernier orgasme.
    
    Après une douche bien méritée, on a passé toute la matinée à parler autour d’un café et plus notre discussion avançait, plus j’avais l’impression que l’esprit, autant que le physique m’attirait.
    
    Il m’a cuisiné un plat simple mais très bon à midi, puis, on a regardé des séries à la télé. Malgré la pluie et le vent dehors, il faisait bon dans son appartement et il était torse nu, tentation perpétuelle pour la femme délaissée depuis trop longtemps que j’étais.
    
    En plein ...
    ... milieu d’un épisode, je suis passée sur, chatte, sensuelle. J’ai senti son membre durcir sous son caleçon. Je suis passée entre ses jambes, laissant une traînée de baisers sur ses pectoraux, ses côtes et son ventre. J’adorais la fine ligne de poils menant de son nombril à son caleçon.
    
    J’ai libéré son sexe et je l’ai embrassé un peu partout avant de sortir ma lange pour le lécher comme une glace. Il était dur comme du bois dans mes mains, gros et long, délicieux de virilité et de désir.
    
    Il a poussé un long gémissement alors que son gland trouvait sa place dans ma bouche chaude et accueillante. Je l’ai regardé dans les yeux en le suçant comme je ne l’avais jamais fait pour aucun autre homme. J’ai ôté le grand teeshirt que je lui avais emprunté en guise de chemise de nuit. Mes gros seins lui plaisaient et je m’amusais à frotter mes tétons durs comme du béton sur ses cuisses.
    
    - Tu veux qu’on continue à se voir Pierre ?
    
    - Oui !
    
    - Tu veux que je te donne du plaisir comme ça aussi souvent que tu le veux ?
    
    - Oui Magalie !
    
    - Alors cette queue est à moi, rien qu’à moi !
    
    Je suçotais la base du gland, effleurant le frein de mes dents. Je voyais que ça le rendais fou.
    
    - A toi ! Oui ! Oh Putain Magalie !
    
    Un liquide transparent sortait du gland et je m’empressais de le laper sous ses yeux avides de moi.
    
    Il s’est levé d’un coup, m’a placé à genoux sur son sofa, avant-bras sur le dossier. J’ai tourné la tête vers lui en souriant, fière de le rendre fou de moi, ...
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