Week-end imprévisible ?
Datte: 15/04/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
inconnu,
amour,
massage,
caresses,
Oral
pénétratio,
fouetfesse,
confession,
nostalgie,
rencontre,
prememois,
Auteur: Zebulon9275, Source: Revebebe
... tout le monde entende :
— Chéri ! j’ai besoin de toi ! Il faut absolument que tu me conseilles ! Il faut que ma lingerie t’attire tout en me plaisant !
Je dois dire que j’ai dû rougir et que je ne m’attendais pas à cette déclaration. Il ne faisait aucun doute que j’étais pour elle son petit ami et qu’elle voulait absolument rendre cela presque institutionnel. Le résultat fut que la responsable de la boutique, toute souriante, s’est précipitée sur nous pour la conseiller.
J’assistais alors à son papillonnage de stand en stand, guidée par la patronne de la boutique. Elle passait des culottes, tangas, shortys, strings aux soutiens-gorges, aux porte-jarretelles, bas, des nuisettes aux autres chemises de nuit et déshabillés. Elle faisait plaisir à voir et elle faisait tout ce qu’il fallait pour me mettre mal à l’aise en me demandant d’arbitrer ses choix. J’avais l’impression qu’en l’absence de quelqu’un d’autre dans la boutique elle se serait revêtue seulement d’une culotte et d’un soutien-gorge coordonné, et m’aurait poussé sur un étal de culotte ou de nuisette pour faire l’amour avec moi. Il n’y avait pas d’hésitation, elle faisait tout pour m’exciter, la patronne de la boutique la regardait avec indulgence, elle avait compris le jeu de Julie, car après avoir payé(une somme rondelette !), elle me susurra :
— Passez une bonne soirée, mais prenez les précautions nécessaires.
Je dois dire que je venais d’admirer Julie dans un shorty blanc avec des parements de ...
... dentelles, les seins enfermés dans des bonnets équivalents créés pour pousser l’homme à découvrir ses trésors cachés.
En sortant de la boutique, Julie s’était collée à moi.
— Alors ! Tu te sens comment, maintenant que tu es redevenue une fille sérieuse avec toute ta panoplie d’habits ?
C’est alors que je ressentis ma première contrariété vis-à-vis d’elle.
— Antoine ! Je te remercie pour tous les achats que tu as faits pour moi ce soir. Je te rembourserai ; il faudra que tu me donnes les notes.
Brusquement, elle me coinça contre un encadrement de porte cochère, mit les bras autour de mon cou et écrasa ses lèvres sur les miennes puis, sans plus attendre, me déclara à mi-voix :
— Antoine ! Qu’est-ce que je t’aime !
Je ne m’attendais pas à cela. Pour moi, jusqu’à ce moment-là, je n’avais pensé à ce qui m’arrivait avec Julie que comme une aventure heureuse, plutôt spéciale destinée à cesser rapidement. J’allais être obligé de réfléchir à notre futur commun. Je ne lui répondis pas, lui dévorai ses lèvres et envahis sa bouche de ma langue. Notre baiser allait durer un certain temps puis nos bouches se sont séparées et la main dans la main, nous avons fait un tour dans le quartier en léchant les vitrines des magasins. Je dois dire que j’étais heureux de réchauffer sa petite main dans la mienne alors qu’elle avait la tête sous mon bras, blottie dans le creux de mon épaule. Je ne sais ce qu’elle pensait, elle était silencieuse, mais je la sentais comme anesthésiée par ...