1. Week-end imprévisible ?


    Datte: 15/04/2024, Catégories: fh, hplusag, jeunes, inconnu, amour, massage, caresses, Oral pénétratio, fouetfesse, confession, nostalgie, rencontre, prememois, Auteur: Zebulon9275, Source: Revebebe

    ... tu préviennes Nathalie quelques jours avant. C’est elle qui te dira si quelqu’un de la famille vient, ou non. Je dois te dire que depuis que mes parents sont en Belgique, ils ne sont pas revenus ici depuis longtemps, car ils préfèrent aller dans les pays du sud, Italie, Sicile ou Espagne et mes cousins ne viennent presque jamais à Paris ; il n’y a que moi ou ma petite sœur, Julie, qui aime venir ici.
    
    Je dois dire que j’appréciais beaucoup les discussions que nous avions sur la vie et sur la biologie. On avait pris nos habitudes : des discussions sérieuses sur les maladies ou la biologie quand nous étions en voiture, des discussions sur les gens (politiques ou people) quand nous montions en refuge ou au pied d’une voie d’escalade. En y réfléchissant, je dois dire qu’il était assez secret sur ses amitiés. Il avait ses amis médecins ou hospitaliers, ses connaissances familiales, et moi avec les amis rencontrés en montagne. Il s’agissait de trois cercles très définis sans intersection réelle.
    
    Il me parlait rarement de sa famille, mais j’avais appris par hasard de conversations téléphoniques quand nous étions en voiture ou ensemble à Saint-Léger que son père était militaire, qu’il avait été attaché militaire dans des ambassades, qu’il avait fait l’école de guerre et qu’il était maintenant général en poste à Bruxelles. Il avait un frère plus jeune de deux ans qui était officier, il le voyait très peu, car il était souvent en mission à l’extérieur de la France. Qu’il ...
    ... s’agisse de son frère ou de son père, il n’avait quasiment pas de rapports avec eux, car il se sentait mal à l’aise face à eux ; il était plutôt antimilitariste dans l’âme tout admettant qu’une démocratie avait besoin d’une armée pour exister.
    
    Il aimait bien sa mère, mais il la plaignait, car elle devait supporter les obligations liées au grade de son père. Il y avait cependant une personne qu’il adorait, c’était sa petite sœur Julie qui avait de l’ordre d’une demi-douzaine d’années de moins que lui. Elle était, d’après lui, très jolie, très vive d’esprit et très intelligente ; il se désolait qu’elle reste un peu coincée entre ses parents. Depuis trois ans, il avait nettement plus de rapports avec elle, car, squattant l’appartement familial, boulevard Rapp, depuis le départ de ses parents à Bruxelles, il l’avait accueillie lors de sa première année de pharmacie. Cependant, en entrant en deuxième année, elle avait déménagé pour être plus libre dans un trois ou quatre pièces, rue de l’Université, où elle habitait en colocation avec deux amies de fac.
    
    Je dois dire qu’il avait été facile pour moi de jouer les seconds de cordée, car Philippe était toujours très intentionné vis-à-vis de moi. Il était d’une famille très aisée ; il ne s’en cachait pas, mais comme il m’appréciait, il voulait que je ne sois pas gêné par les facilités que lui amenait l’argent. Quand nous étions ensemble, il nous arrivait d’aller dans des petites gargotes pas trop chères et quand on partait à Chamonix et ...
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