1. Week-end imprévisible ?


    Datte: 15/04/2024, Catégories: fh, hplusag, jeunes, inconnu, amour, massage, caresses, Oral pénétratio, fouetfesse, confession, nostalgie, rencontre, prememois, Auteur: Zebulon9275, Source: Revebebe

    ... son dos, ses fesses. Je n’avais pas pu assouvir mes pulsions sexuelles, mais j’étais heureux d’avoir pu mettre Julie dans tous ses états. Puis, brusquement, elle retrouva ses forces.
    
    — Dis ! Antoine ! Tu m’as bien eue, je suis toujours vierge. J’ai l’impression que tu veux faire l’amour avec moi à reculons. Pourquoi ? Je t’ai dit qu’il n’y a aucun engagement entre nous, je désire qu’un garçon me pénètre pour la première fois et je t’ai choisi, car je ressens beaucoup de choses avec toi quand je te vois, quand je te touche, quand je te hume. Tu ne veux pas ?
    — Julie, ce n’est pas cela, nous avons jusqu’à 17 h pour te transformer en femme. C’est un grand moment pour toi et tu ne pourras jamais revivre cet instant. Donc, prenons notre temps, je construis tes souvenirs de ce jour.
    
    Elle s’écarta alors de moi et se mit sur un coude pour bien me regarder. Il ne faisait aucun doute qu’elle était très émue, elle avait pris un air sérieux tout en m’envoyant un regard interrogatif. Elle comprenait soudain que j’allais la déflorer dans les quelques minutes qui suivraient. Elle souriait, mais je la sentais prête à pleurer. Je m’étais dressé et je la recouvris de mon corps tout en écartant ses cuisses avec mes bras et mes coudes. Je commençai à positionner ses jambes sur mes épaules pour faciliter ma pénétration. Il n’y aurait aucun problème, car je n’avais jamais vu un sexe féminin aussi mouillé. Elle avait fermé les yeux dans l’attente de la suite et, brusquement, elle poussait ...
    ... un cri « Oui ! C’est a moi de jouer ! » et me bouscula. Comme je l’avais déjà remarqué, elle avait le pouvoir d’emmagasiner en elle un stock d’énergie considérable et de le dépenser dans des actes ultras rapides.
    
    Je n’avais rien compris sur le moment si ce n’est que je me retrouvai sur le dos et qu’elle se retrouvait à califourchon sur mon ventre.
    
    — Laisse-moi faire, Antoine. Je m’occupe de la suite.
    
    Je la retrouvais alors avec ses yeux pleins de malice, pupilles brillantes grandes ouvertes.
    
    Elle se recula un peu, se courba pour caresser mon pénis, érigé droit vers le ciel comme l’obélisque sur la place de la Concorde. Elle lui donna quelques bisous, le prit dans la bouche pour le sucer doucement et lentement sur la plus grande partie de sa longueur. Après avoir goûté à l’homme que j’étais, elle redonna sa liberté à mon sexe pour s’en saisir avec ses deux mains et, se soulevant un peu, elle l’inséra à l’entrée de son sexe. Vu, l’humidité qui régnait sur et dans son intimité il n’y avait aucun problème de glisse et, concentrée sur ses gestes, elle s’empala par petites secousses successives sur mon pénis.
    
    Je dois dire qu’au début, j’étais resté immobile, mais, dès qu’il se fut retrouvé à s’enfoncer dans son antre, je n’avais pu résister à ce réflexe naturel qui entraîne l’homme à bouger son bassin pour aller au contact le plus étroit possible avec le sexe de sa partenaire. Elle essaya, cependant, de freiner mes mouvements, car il n’y avait aucun doute qu’elle ...
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