Week-end imprévisible ?
Datte: 15/04/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
inconnu,
amour,
massage,
caresses,
Oral
pénétratio,
fouetfesse,
confession,
nostalgie,
rencontre,
prememois,
Auteur: Zebulon9275, Source: Revebebe
... pilule pour la première fois, que c’était à moi seule qu’incomber la responsabilité d’avoir des rapports intimes avec un homme. À la fac, je dois t’avouer que j’ai eu des avances de certains garçons, mais je me suis toujours arrangée pour ne pas répondre par l’affirmative, car je ne ressentais rien pour eux. Avec toi, c’est différent, quand hier soir en début de soirée j’ai descendu avec Camille l’escalier menant aux étages et que je t’ai vu à côté de Philippe mon cœur s’est mis à battre différemment, je me suis sentie attirée par toi. Je dois t’avouer que les bêtises que j’ai faites à cette soirée – trop boire, prendre de la drogue – étaient le résultat de deux désillusions : mon frère qui ne m’avait rien dit à propos de Camille, l’ami de mon frère, un dénommé Antoine, qui m’avait snobée durant toute la soirée. À trois reprises, tu es passé à côté de moi sans me voir, sans me parler ; pour moi, cette soirée avait un goût de fiel, je n’existais pas.
— Julie ; ce n’était pas voulu ; il y avait beaucoup de monde et je passais de groupe en groupe sans trop faire attention à ceux que je ne connaissais pas.
— Je sais, mais ce n’est pas facile d’être quelqu’un qui n’attire l’attention de personne. Tu t’es rattrapé depuis, et ce, au centuple.
Je me penchais alors sur elle, couchée sur le dos, elle était souriante, confiante, détendue sans aucune appréhension pour la suite.
Je m’approchai d’elle et posai mes lèvres sur les siennes toutes mouillées de salive, elle les reçut ...
... avec délice, car elle était prête à glisser sa langue entre mes lèvres, mais je n’insistai pas et ma bouche était partie à la découverte de son corps : petits baisers sur son nez, ses yeux, coups de dents la faisant sursauter, sur ses oreilles, coups de langue avec suçons sur son cou. Je marquais mon territoire. Elle ne disait rien, mais, par les mouvements de son corps, elle montrait qu’elle appréciait.
Petit à petit, ma bouche arriva à la hauteur de sa poitrine, j’avais déjà admiré de près ses petits seins dans la nuit, mais, là, ils étaient en pleine lumière et mes mains s’en saisirent pour les enserrer, les malaxer. Mes doigts n’arrêtaient pas de jouer avec ses tétons, les roulaient entre pouce et index, ils s’étaient dressés et étaient devenus durs. À partir du moment où ma bouche et mes lèvres, mes dents avaient commencé à jouer avec ses tétons, elle avait commencé à haleter et à gémir. Elle était tombée sous mon pouvoir, j’en étais tout ému.
Mes doigts pinçant toujours plus ou moins ses tétons, ma bouche continuait son travail de topographie corporelle à la recherche de ses zones les plus érogènes et descendait petit à petit sur son ventre vers son nombril puis vers son mont de Vénus avec des hauts et des bas dans ses gémissements. J’allais atteindre son petit triangle roux, elle s’apprêtait à bien écarter ses jambes pour me recevoir quand je changeai de tactique. Brusquement, je quittai son ventre pour descendre mordiller ses pieds. J’étais tout heureux de lui ...