Week-end imprévisible ?
Datte: 15/04/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
inconnu,
amour,
massage,
caresses,
Oral
pénétratio,
fouetfesse,
confession,
nostalgie,
rencontre,
prememois,
Auteur: Zebulon9275, Source: Revebebe
... dressée sur un coude et ses yeux s’étaient portés sur moi. Ce n’étaient plus ses doigts qui tâtaient ma poitrine, mais une de ses mains. Dans les mouvements qu’elle avait entrepris pour se mettre sur un coude, elle avait quitté la protection de la couette et sa veste de pyjama s’était entrouverte me permettant de voir ses seins. Ce fut un appel pour moi, je les pris dans mes mains alors qu’elle se penchait sur mon torse pour y semer une multitude de petits baisers tout mouillés. Il n’y avait eu aucune parole d’échangée. Quand son regard s’était porté sur moi, elle m’avait souri et je lui avais répondu par un sourire.
Par la suite tout en semant des baisers un peu partout sur ma poitrine, elle s’approcha encore plus au-dessus de moi et souleva mon tee-shirt en le faisant passer au-dessus de mes épaules et de ma tête. Elle était complètement débraillée et si proche de moi que je n’avais rencontré aucune difficulté pour prendre ses deux seins dans mes mains, à les masser, les caresser tout en faisant rouler dans mes doigts leur petit téton. Elle commençait à gémir sous mes caresses quand, ce qui devait arriver survenait, nos deux corps se touchaient et nos bouches se rejoignaient sans aucune parole échangée.
À peine avais-je posé mes lèvres sur les siennes que son corps se collait au mien, que ses bras m’enserraient ; moi, je l’avais pris de suite aux épaules et l’avais serrée dans mes bras pour sentir ses seins s’écraser sur ma poitrine. Nos bouches avaient commencé une ...
... sorte de danse où chacun voulait avoir le dessus sur l’autre, c’était un mélange d’échange sauvage et de douceur, nous étions dents contre dents, nous échangions nos respirations, nous échangions nos salives, nos langues s’entrechoquaient et se poursuivaient d’une bouche à l’autre. De temps en temps, nous marquions un temps d’arrêt pour respirer profondément, mais nous ne pouvions pas éviter que l’un ou l’autre ne revienne à la charge pour embrasser l’autre de cette manière animale qui fait que nous ne pouvions pas séparer nos bouches. Ce baiser allait durer longtemps, car ni Julie ni moi n’étions décidés à le rompre.
Comme toutes les bonnes choses ont une fin, notre échange tumultueux de baisers cessa après un dernier tout doux, tout baveux et nous nous sommes retrouvés côte à côte sur le lit, sur le dos nous tenant par la main, silencieux, mais respirant fortement sous l’impact de l’émotion. Elle, elle était quasiment nue, en partie cachée par la couette, moi j’étais torse nu, installé contre son épaule. Je ne savais pas quoi dire, je ne m’attendais pas à cela, et je me posais cette question en moi-même :me suis-je fait manœuvrer par Julie ? Voulait-elle exactement ce qui était arrivé entre nous ? Celle-ci était dans tous ses états, elle respirait lentement par à-coup, elle n’osait pas me regarder. Je lui avais jeté des coups d’œil discret pour m’apercevoir qu’elle regardait fixement le plafond ; elle semblait prise de court, un peu dépassée par les évènements.
— Julie ...