1. Week-end imprévisible ?


    Datte: 15/04/2024, Catégories: fh, hplusag, jeunes, inconnu, amour, massage, caresses, Oral pénétratio, fouetfesse, confession, nostalgie, rencontre, prememois, Auteur: Zebulon9275, Source: Revebebe

    ... décision, sans rien lui demander, de glisser les doigts de ma main droite jusqu’à son sexe, elle se mit alors à haleter et ahaner. Elle voulut alors se tourner vers moi, mais y renonça quand mes doigts s’insinuèrent entre ses deux grandes lèvres pour les caresser.
    
    Rapidement, j’allais sentir sous mes mains la tétanisation de tous ses muscles. Je lui donnai, alors, avec ma main gauche, une grande claque sur les fesses. Le résultat fut un sursaut de sa tête avec un regard affolé vers moi, un grand cri, suivi de moult tremblements de tout son corps et un liquide visqueux s’écoulant entre les doigts de ma main droite, elle venait d’avoir un magnifique orgasme. Elle me jeta alors un regard rapide plein de confusion avant de se renfoncer dans la couette.
    
    — Ça va !
    
    Elle ne m’avait pas répondu, elle n’osait plus me regarder, elle devait être confuse de s’être laissé aller sans résister à mes massages, devenus caresses. Je décidai alors de la faire riper sous la couette en abandonnant le pantalon de pyjama par terre à côté du lit, car elle semblait ne plus pouvoir résister au sommeil. Elle se laissa faire et durant son transfert, elle attrapa une de mes mains pour y mettre un baiser sans porter aucun regard sur moi. En réponse, je lui avais mis un baiser sur son oreille gauche en lui souhaitant de beaux rêves et je quittai la chambre. Alors que je passais le pas de la porte, elle avait relevé un peu sa tête et m’avait fixé intensément comme si elle avait craint de m’oublier. ...
    ... Cela me permit de voir ses joues toutes rouges, des larmes dans ses yeux et une confusion énorme dans son regard. Elle devait être gênée et se sentir un peu humiliée de ses gémissements, ses cris, et les mouvements anarchiques de son corps. S’envoyer en l’air devant un inconnu, cela ne se faisait pas tous les jours.
    
    ooooooooooooooo
    
    Il devait être vers 2 h du matin quand je me suis retrouvé seul dans la cuisine, j’en ai profité pour prendre une bière(je l’avais bien méritée) et surtout pour réfléchir. Qu’allais-je faire le lendemain de Julie ? Il m’était très vite apparu qu’il fallait éviter de faire intervenir Philippe. Il fallait que je mette un embargo total sur ce qui s’était passé dans la forêt, c’était une affaire personnelle entre Julie et à moi.
    
    Sur le plan pratique, je lui avais proposé de la ramener chez elle le lendemain, il y avait un problème, car il ne lui restait qu’une petite robe plus ou moins ruinée par ses galipettes sur le sol dans les bois et aucun sous-vêtement. Je devais donc m’occuper de sa garde-robe avant de la ramener pour éviter les questions de ses colocataires. Je me mis à inspecter l’état de son manteau et celui de sa robe. Le premier ne posait pas de problème, il n’y avait que des feuilles plus ou moins accrochées et deux traces de boue que je supprimai rapidement avec un peu d’eau. En revanche, la robe était hors d’usage immédiat et je n’étais pas sûr de la réponse d’un « pressing » sur sa possibilité de récupération. Il fallait donc ...
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