1. Île paradisiaque


    Datte: 13/04/2024, Catégories: fhh, cocus, vacances, plage, voyage, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Partouze / Groupe aventure, couplea3, candaul, Auteur: Etienne56, Source: Revebebe

    ... toujours à l’affût.
    
    Quelques jours plus tard, après avoir dîné tous ensemble à l’hôtel, il nous proposa d’aller visiter sa maison, bâtisse circulaire, et ce dont il semblait le plus fier : dans le salon, il avait imaginé une cascade descendant du plafond jusqu’à un bassin au centre de la pièce, un système de pompes alimentait la chute.
    
    Après quelques verres de rhum-coca – Christian avait davantage forcé sur le rhum que sur le coca –, il s’éclipsa pour revenir avec un joint que nous acceptâmes volontiers. Le mélange rhum-pétard eut pour effet de nous désinhiber totalement. Marie aimait séduire depuis toujours et en maîtrisait parfaitement les techniques, je l’observais avec amusement et intérêt. Notre hôte, depuis notre rencontre, n’avait manifesté que peu d’intérêt pour ma personne, en revanche, Marie avait droit à toutes les attentions.
    
    Elle était ravissante, très appétissante, silhouette parfaite, très belles jambes, poitrine généreuse et accueillante, et ce regard vert insistant, dirais-je provoquant ? Ce soir-là, elle portait un sarouel des plus affriolants, largement ouvert de la cheville à la ceinture. Consciente de l’effet induit sur notre hôte, elle en usait et abusait, en modifiant avec une régularité de métronome la position de ses jambes. Le tissu glissait, s’écartait, laissait entrevoir une promesse de vertiges. Je ne disais rien, j’appréciais son show, attendant avec impatience la suite !
    
    Il était de plus en plus difficile à Christian de maintenir le ...
    ... débit de paroles auquel il nous avait habitués. Rien des gestes de Marie ne lui échappait, le bruit de la cascade rajoutait si besoin une sensualité presque palpable au moment. Lorsqu’elle dégrafa les deux-trois boutons de son corsage, laissant plus que deviner l’irrésistible arrogance de ses seins, et entreprit à l’aide de l’éventail qui la suivait en tout lieu d’apporter un peu de fraîcheur à sa peau, Christian cessa de parler, se leva brusquement et nous proposa un bain de minuit.Nous y voilà ! me dis-je.
    
    L’endroit tout désigné se trouvait à quelques minutes de là, devant nos bungalows. Nous nous tînmes parfaitement serrés à l’avant du véhicule, Marie au milieu. Ma main gauche tout comme la main droite du conducteur cheminait à tâtons sous l’étoffe et sur ce délicat et toujours très réceptif grain de peau des cuisses de mon épouse. Marie semblait s’ouvrir, ou mieux, s’offrir sans retenue. Le trajet fut court heureusement, ou malheureusement. Il y a des épisodes de notre vie que l’on aimerait voir s’étirer bien davantage dans le temps.
    
    Arrivés sur la plage par cette nuit de pleine lune, Christian, tout comme moi, se débarrassa de tout vêtement et nous plongeâmes dans cette eau à 27°. Ne voyant pas Marie à nos côtés, un peu surpris, nous la repérâmes encore toute habillée sur la plage. Elle attendait notre attention, notre regard, notre désir.
    
    Délicatement, sans empressement – surtout pas –, tout en regardant dans notre direction, l’effeuillage commença. Le sarouel ...
«1234...»