1. Île paradisiaque


    Datte: 13/04/2024, Catégories: fhh, cocus, vacances, plage, voyage, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Partouze / Groupe aventure, couplea3, candaul, Auteur: Etienne56, Source: Revebebe

    Tout juste trentenaires au mitan des années 80, avec Marie, nous étions mariés depuis quelques années déjà. Elle travaillait dans une compagnie aérienne, détail lui permettant de voyager à sa guise, et bien entendu à moindre coût. Marie adorait voyager, elle ne s’en privait donc pas. À cette époque, je dois le préciser, nous bénéficions de ces billets GP (gratis passengers, ou presque) à des prix totalement indécents, j’en conviens, et cela vers toutes les destinations. Seule contrepartie : découvrir à l’aéroport qu’il ne restait aucune place dans l’avion ! Une mésaventure que nous n’avons jamais, fort heureusement, connue. Marie m’a entraîné ainsi à Madagascar, véritable révélation pour moi qui n’avait que très peu bourlingué hors de France. Ce voyage à Nosy Be fut dès la sortie de l’avion un véritable festival, une bouffée d’air chaud et humide des tropiques en plein été, et surtout l’odeur intense de l’ylang-ylang que l’on pouvait respirer partout sur l’île.
    
    Des collègues de Marie lui avaient recommandé la résidence Ambatoulouk à Ambatoulouk, l’un des trois hôtels de l’île à l’époque. Le propriétaire des lieux, un Italien, quarantenaire, prénommé Paolo, était venu nous chercher à l’aéroport avec une Mini Moke qui avait connu des jours meilleurs. La route relevait davantage du chemin de terre, ce fut un vrai parcours du combattant ! Nos dos s’en souviennent encore. Vingt-cinq kilomètres plus tard, le paysage coupa court à toute jérémiade. Un endroit de rêve, une carte ...
    ... postale des tropiques. L’hôtel donnait sur une plage bordée de palmiers. N’imaginez pas une construction moderne, mais plutôt l’œuvre d’un ingénieux Italien, une architecture en parfaite osmose avec le cadre. Paolo, en personne, l’avait imaginée et conçue dix ans plus tôt avec les seuls matériaux qu’offrait l’île. Un ensemble constitué d’une dizaine de bungalows.
    
    Chose remarquable pour moi – peu habitué à ces pays –, une absence totale de fenêtres, de simples ouvertures en place et lieu.
    
    Paolo nous présenta son épouse Christina, la quarantaine épanouie, très épanouie, me dis-je, ravissante. Après nous avoir offert le traditionnel verre de rhum, il nous emmena découvrir notre bungalow. Du béton partout jusqu’au cadre du lit, le sommier était constitué de planches épaisses résistantes à toutes les acrobaties à venir, cela ne nous avait pas échappé.
    
    Étant les seuls clients – Nosy Be n’avait pas encore le vent en poupe – nous fûmes conviés à dîner avec nos hôtes comme nous le serions durant tout le séjour.
    
    Un peu plus tard, nous rencontrâmes les cinq coopérants français vivant dans le village, deux couples et un célibataire, Christian, dont le sourire éclatant lui avait valu le surnom de Colgate, mais qui aurait mérité celui de Mike Brant(chanteur à minettes des années 70) tant la ressemblance était frappante. Son attirance le portait exclusivement vers les touristes. Celles-ci étant fort peu nombreuses, sa libido était le plus souvent en berne, mais l’animal était ...
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