1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1571)


    Datte: 09/04/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... je portais, était imbibé de ma pisse, avec des tâches d’urine bien visible sur celui-ci… Je me rappelais de cet ordre tombé sur le parking de cette grande surface, où j’avais dû, debout, mains dans le dos, tête basse, pisser une nouvelle fois dans cette couche-culotte détrempée, tellement détrempée que j’avais vu et senti ma pisse courir le long de mes jambes, jusqu’à ce qu’une flaque s’installe à mes pieds et ce, devant le regard médusé et abasourdi d’une femme venant de faire ses courses. Je me souvenais aussi de ce début de nuit, où ces deux pervers m’avaient installé dans leur lit, au milieu d’eux, ma tête maintenue coincée entre les énormes cuisses de cette sadique nurse, à ne plus pouvoir respirer, à suffoquer même, ma bouche plaquée contre sa chatte peu ragoutante et ruisselante, alors que son mari me besognait sauvagement, m’enculant copieusement, sans que ni l’un ni l’autre ne se préoccupe de mes propres ressentis, simplement considéré comme un simple objet sexuel …
    
    Je me souvenais encore de cette longue après-midi, où pendant plus de trois heures interminables, à quatre pattes au milieu du salon, j’avais dû sucer ce gode énorme, alors qu’eux, installés sur leur canapé, regardaient porno sur porno version D/s. Les coups de badine m’avaient été régulièrement administrés dès lors qu’ils avaient l’impression que je n’y mettais pas suffisamment d’ardeur et d’énergie… Mes entrailles se rappelaient aussi et encore, de ces longues et régulières pénétrations avec cette ...
    ... machine à baiser, me laissant le cul béant… Je repensais aussi à ces menaces qu’ils avaient proféré dont celle de me conduire sur une aire de repos de l’autoroute pour me faire baiser par des camionneurs ou routiers en rut, dès lors que je n’appliquais pas rigoureusement les consignes, que je ne les vénérais ou ne les remerciais pas suffisamment… Heureusement menaces non exécutées…
    
    Mon pubis, mes couilles et ma raie anale se souvenaient eux aussi de cette séquence de dépilation terrible, avec juste une pince à épiler pour extraire quelques poils repoussant ici ou là, avec ordre de ne pas bouger, encore moins de gémir ou de hurler, en tenant mon cul en l’air, jambes écartées et repliées sur mon abdomen… Je me souvenais aussi avoir été utilisé maintes et maintes fois à leur servir de vide-couilles pour le mari et de vide-mouilles pour la nurse ! Et cela à n’importe quel moment et endroit, de jour comme de nuit. A être réveillé juste pour me faire prendre par l’homme ou lécher la chatte de la matrone, voire les deux à la fois. Comment m’avait-il été possible de supporter l’insupportable ? Comment se faisait-il qu’en me remémorant ces ignominies, ma queue était maintenant raide, totalement érigée, allant même jusqu’à mouiller ? Sans doute, étais-je sur le chemin de la totale soumission et dépravation, sur la route de l’esclavage consentie !... A cet instant, la porte du bureau venait de s’ouvrir, j’apercevais deux paires de chaussures impeccablement cirées et passées pas très ...