1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1571)


    Datte: 09/04/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode N°1566) -
    
    Chapitre 27 : Inscription à une formation -
    
    - Allez viens esclave, nous t’emmenons avec nous au supermarché ! …
    
    Combien aurais-je été comblé et heureux si j’avais pu rentrer à la Bastide, pour me reposer, dormir et me détendre après ce stage de quatre jours passé près de ces deux pervers, totalement détraqués et dépravés. Mais Monsieur le Marquis en avait décidé autrement… Dès mon retour au Château, Madame Marie, sévère comme toujours et égale à elle-même, m’avait pris en charge. Toutefois, elle m’avait fait prendre un bon bain, bien chaud, presque bouillant, puis c’est avec son regard froid et sans un mot qu’elle avait massé mon fessier strié et endolori par tant de coups reçus tout au long de mon séjour chez les deux sadiques. Elle m’avait ensuite conduit dans une cellule, que je ne connaissais pas encore, dans laquelle se trouvait, pour le coup, un bon lit, avec sommier et matelas.
    
    - Couche-toi et repose-toi, le bâtard, tu sembles en avoir grand besoin !, m’avait-elle dit sur un ton empli d’autorité
    
    Oh que oui… j’avais grand besoin de me reposer. Lorsque je m’étais regardé dans le miroir vers la baignoire, à peine si je m’étais reconnu. Des cernes profonds marquaient mon visage, les yeux sans éclat, j’éprouvais une sensation d’épuisement, de lassitude, avec une capacité mentale réduite, une libido à zéro, bref, dans un état de léthargie, comme ...
    ... jamais vécu jusqu’ici. J’avais dû m’endormir sur le champ, sans même voir repartir l’implacable cuisinière qui ne m’avait fait porter aucune entrave, hormis celle placée sur ma nouille... Et puis, il y avait eu ce réveil sans douceur… Le Majordome m’avait sorti du lit en empoignant ma chevelure, m’avait exigé de lui baiser les pieds, avant qu’il ôte ma cage de chasteté et m’emmène dans le bureau du Maître. Depuis lors j’étais là, immobile, dans une posture d’attente, à genoux, le buste bien droit car que mon fessier ne devait pas toucher mes talons, cuisses tenues largement écartées, les mains bien posées l’une sur l’autre au niveau de mes reins, la tête baissée, mon regard sur ma nouille flasque. A mon grand étonnement, je ne ressentais aucun stress, aucune émotion, aucune peur, avec cependant une étrange sensation, celle de ne plus m’appartenir, au fond de moi-même, ce corps apathique et malléable, posé sous mon regard, n’était plus qu’une chose façonnée et formatée, faite pour servir !
    
    J’attendais… une très longue attente qui me permettait de revivre mentalement les épreuves endurées près de ce couple de maniaques sexuels, au cours de ces quatre derniers jours. Par flashs successifs, je revivais et me remémorais ces expériences ignobles et sordides vécues près de cette soi-disant nurse et de son mari tout aussi pervers. Je me revoyais dans ce supermarché, poussant le caddie, avec cette couche-culotte lourde et humide, me collant aux fesses, tellement moite que le short que ...
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