Lundi 7 décembre 1981
Datte: 09/04/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Maceran, Source: Hds
... ça t’excite, … » Il y eut un temps de calme et elle s’enfonça dans le siège, écarta encore légèrement les cuisses et sa main droite remonta sa cuisse pour atteindre son minou qu’elle commença à caresser avec : « Je suis folle, …je ne me reconnais plus, … Oh, … » Le rythme de sa respiration s’accéléra légèrement, et jetant un coup d’œil sur ce qui se passait, les yeux fermés, le compas de ses cuisses largement ouvert, elle se caressait avec volupté. « Poses ta main sur la mienne, … je veux te sentir, … » C’est ce que je fis quelques instants, c’est alors qu’elle se pénétra avec un grand soupir de plaisir. « Dis-moi que tu aimes, … »Moi : « Donnes moi ta main, … je veux te sentir, … humer ton odeur, … »Véro : « Oui, … attends un peu, … qu’elle prenne bien mon odeur, … Oh, … OUI, … pour toi, … »Et elle me mit sa main sous le nez : « Dis-moi que tu aimes, … c’est pour toi, … », nous étions arrivés. Je repris sa main pour la sentir et l’attirais vers moi pour prendre sa bouche pour un baiser goulu. Et je lui dis que nous allions passer derrière car il y aurait plus de place, ce que nous fîmes. En fait, je lui tins la porte et quand elle fut assise : « Je veux sentir ta chatte, … et te gouter, … couches toi sur le siège, … » et par un mouvement bien orchestré elle se laissa aller sur le siège et pendant qu’elle relevait sa jupe, ses jambes s’écartèrent, me permettant d’avoir accès à sa grotte d’amour, elle murmura : « Je n’attendais que, … oui, … viens, … j’aime que tu me goutes, ...
... … j’aime que tu mes suces, … lèches le sexe, … oui, … j’aime, … » Il ne fallut pas longtemps pour qu’elle mouille en quantité et que son odeur me grise. Deux doigts partir en reconnaissance dans ce minou ouvert et je la masturbais un peu, de façon la pousser le plus loin possible, sans pour autant la faire jouir, alors qu’elle disait : « Oui, … continues, … j’aime, … ne t’arrêtes pas, … plus vite, … OOOHHHH,… OUIIIIIIII … » Elle était tellement chaude que je n’avais pas prévu qu’elle parte si vite. Pendant qu’elle reprenait son souffle, je rentrais rapidement dans la voiture et m’empressais de m’occuper de ses seins que j’avais mis en liberté en dégrafant son corsage : « Laisses moi souffler, … tu es trop gourmand, … attends un peu, … » faisant semblant de m’arrêter, elle réagit aussitôt : « Non, … continues, … j’aime que tu t’occupes de mes seins, …j’aime ça, … tu le sais, … têtes moi, … laisses moi me calmer un peu, … après je voudrais que tu me prennes, … tu m’as tellement excitée, … » Mais, suite à ce qu’elle avait fait, une autre idée m’était venue, je la prie dans mes bras et je m’empressais de satisfaire ce désir, m’occuper de ses seins, les caresser, les serrer, les martyriser un peu, elle aimait ça, même elle appréciait.et tout en m’occupant de ses beaux avantges, je commençais par lui dire : « J’aimerais, un jour te voir te caresser devant moi, … »Véro : « Tu es complétement fou, … »Moi : « Non, je pense que ce doit être excitant, … te voir te caresser et surtout te ...