1. Lundi 7 décembre 1981


    Datte: 09/04/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Maceran, Source: Hds

    Alors que la journée était en train de se finir et qu’il avait fait très chaud, la porte de mon bureau était ouverte et nous finissions la journée avec mon remplaçant Henry, Véro arriva avec sa voiture et celle-ci garée entra dans le bureau en lançant un bonjour à tous. Puis venant vers moi : « Je ne veux pas vous déranger, mais as-tu dix minutes à m’accorder, … »« Oui, … d’abord laisses moi te présenter mon remplaçant M. Henry, … » et à Henry Mme Véro gérante du grand magasin Hollando, vous y trouverez tout ce dont vous pouvez avoir besoin »Puis me retournant vers Henry : « Je pense que nous avions presque fini, … vous pouvez terminer le planning, et je vous retrouve après, … » et Henry se retira dans le bureau à côté. Il était à peine partie, que Véro s’approcha du bureau et se penchant où plutôt se couchant presque sur le bureau, me faisait voir, ainsi sa jolie poitrine nue avec : « Tu vois ils s’ennuient de toi, … regardes bien, … et elle ouvrit un bouton supplémentaire, … regardes, … ce n’est pas tentant, …» Oh oui, c’était tentant, mais : « Tu es folle, … » et de me répondre : « Oui, … folle, … folle d’envie de toi, …ça fait une semaine que tu n’es pas venu me voir, … c’est de ta faute, … »Moi : « De ma faute, … »Véro : « J’étais tranquille, … une petite baise de temps en temps… et pour le reste je me débrouillais, … il a fallu que tu apparaisses, … faire l’amour, non, baiser dans un parking, … moi, … inimaginable, … et je t’ai cédé, … et tu m’as fait découvrir que ...
    ... j’aimais le sexe et ses plaisirs, … et tu vas partir bientôt, … je veux profiter de toi, … »Moi : « Tu en as tellement envie, … »Véro : « Un véritable goujat, … je m’offre à lui, … et il me pose cette question, ... »Moi : « Je plaisantais, … viens à côté de moi, … »Véro : « Tu es un monstre, … et au lieu de te fuir à toutes jambes, … je vais lui obéir, … » et effectivement elle vint à coté de moi, et j’en profitais pour glisser une main exploratrice entre ses cuisses, pour remonter vers sa grotte d’amour, comme elle l’avait deviné, car elle écarta légèrement les cuisses, où, quand arrivé, je posais ma main sur sa chatte, que je caressais doucement, elle s’ouvrit encore légèrement et je sentais ses grosses lèvres bien humides bien posées dans ma main et doucement, je la pénétrais : « Oh, … non, … pas ça, … non, … oh, … » et là tête ne dirigeais plus mais les reins s’étaient avancés et sa chatte s’était plantée sur mes doigts. Pratiquement sans bouger de ma part elle se planta encore plus avec comme désir : « Oui, … je te sens, … j’aime, … continues, … OOOOOHHHH, … je vais, … OUIIIIIIIII, … OOOHHH, … OUIIII, … » et ses cuisses se refermèrent sur ma main en même temps qu’elle avait un gentil spasme : « T’es content de toi, … t’as gagné, … »Moi : « Tu n’as pas aimé, … »Véro : « Monstre, … tu sais bien que si, … mais je veux plus, … et tu le sais, … que je suis venue pour ça, … alors, … »Moi : « T’es adorable, … tu prends ta voiture et tu vas te garer en face de la bank Africa, et je ...
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