1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1647)


    Datte: 06/04/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... éprouvants. Il avait le regard creux, mais le sourire aux lèvres lorsqu’il levait la tête pour me fixer. Lui aussi avait dû subir les sarcasmes de cette satanée cuisinière, un toilettage en règle, sa coupe de cheveux ne valait guère plus que la mienne… Markus tirait sur la laisse pour le faire mettre à genoux.
    
    - Montre ta nouille, bâtard, ordonnait Monsieur le Marquis
    
    Instantanément esclav’antoine s’exhibait en écartant les genoux, ouvrant largement ses cuisses, sa nouille décagée et bandée avait quasiment doublé de volume et s’était allongée de plusieurs centimètres. Pauvre antoine… que lui avait-on fait subir pour que la taille de son membre soit devenue une telle chose encombrante ?
    
    - Approche le chien, viens derrière ma salope de chienne, viens la saillir, la baiser, là, à quatre pattes, juste devant moi, je veux te voir la forniquer, l’engrosser, je veux voir si ta grosse nouille passe aisément dans son cul vaginalisé ! Aller nique là je le veux… maintenant, nique ta future femelle !
    
    Antoine m’attrapait par les hanches, me tirant vers lui, jusqu’à ce que mes fesses soient en contact avec son abdomen, jusqu’à ce que sa nouille vienne effleurer ma rondelle soumise. Et là, d’un coup d’un seul il me pénétrait violemment. Sa nouille semblait parcourir une distance immense avant que ses hanches percutent mes fesses. Je le sentais tout entier en moi, me dilatant le cul d’un puissant coup de reins digne d’un animal reproducteur. Dur, épais, bouillant, il ...
    ... s’enfonçait entièrement, dans un soupir d’effort, puis restait là quelques secondes en repoussant les frontières de mon corps servile et offert. Je venais de geindre bruyamment, m’était affaissé sous cet assaut foudroyant. Il me relevait se reculait, prenait de l’élan, s’enfonçait de nouveau me donnant un autre coup de reins inouï m’envoyant une nouvelle fois au sol. Il se reculait encore, agrippait mes hanches pour que mon cul soit à bonne hauteur et me défonçait toujours pour enfin trouver son rythme de croisière, me baisant en soufflant et en suant comme un taureau en rut. Sous ses coups, je transpirais, grelottais sous la douleur qui me parcourait le bassin, bien vite apaisée par le bonheur que me procurait son énorme nouille, comme une évidence, comme s’il avait toujours fallu qu’il soit en moi pour que je sois complet, pleins de vices et de plaisirs sulfureux. Antoine continuait ainsi, me baisait doucement, puis augmentait le rythme, respirant plus rapidement. Je fermais les yeux, serrant les dents pour éviter de trop gémir, essayant tant bien que mal de maitriser les tremblements de ma poitrine et le plaisir qu’il me donnait. Il s’enfonçait encore m’attrapant par les épaules, attendant que le Maitre lui donne l’ordre de jouir, ordre qui se faisait attendre ! Alors les mouvements d’antoine ralentissaient, des coups plus lents et plus forts, des contractions de brutes ; entre mes jambes, ma propre nouille bandée rebondissait contre mon ventre.
    
    - Là, maintenant, jouis salope !, ...