1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1647)


    Datte: 06/04/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1646) -
    
    Chapitre 44 bis : Ejaculation et copulation contrôlées -
    
    - Tu attends quoi pour M’obéir, espèce de salope !, reprenait le Châtelain...
    
    L’esclave en question chouinait, grimaçait lorsque la cravache une nouvelle fois claquait à plusieurs reprises son cul endolori
    
    - Lèche, espèce de catin que tu es… Apprends à aimer le foutre, apprends à te conduire comme une salope obéissante et servile, apprends à obéir vite et bien, instantanément, quel que soit l’ordre reçu. Je le veux, tu entends, Je le veux !... Parce que toi aussi tu le souhaites, toi aussi tu espères devenir une chienne, comme l’est esclav’alex ici présent devant Moi… Je te le rappelle salope, c’est toi qui est revenu au Château me supplier de te soumettre. Alors aujourd’hui tu n’as plus le choix ! J’exige et tu obéis…
    
    Un énième coup s’abattait sur ses fesses cambrées, sa bouche se plaquait sur mon abdomen, sa langue cueillait le fruit de mon orgasme foudroyant... Il léchait et avalait difficilement, peut-être dégouté, écœuré, comme s’il semblait ne pas avoir l’habitude d’un tel traitement.
    
    - Là, plus haut, sur le téton !, lui montrait le Maitre, avec le bout de sa cravache frappant ma poitrine.
    
    Cette fois esclave Katia n’hésitait plus, il se précipitait, sa langue titillait mon mamelon. Sous ses caresses, mon téton se redressait, s’érigeait brutalement, je ne pouvais retenir un ...
    ... gémissement de plaisir. Pourtant au même instant, Markus retirait la sonde urétrale de ma nouille. Mon gémissement se transformait bien vite en geignement… Pourquoi ne m’autorisait-on plus le plaisir seul ? Pourquoi fallait-il qu’il y ait toujours plaisir et douleur au même moment, au même instant ? Peut-être pour développer, pour accentuer, pour accroitre mon masochisme profond et qu’il s’imprime définitivement dans mon esprit et dans ma libido comme un élément moteur, voire essentiel de ma servilité et du bien-être que cette réalité peut apporter à ma condition d’esclave… Et pour preuve, alors que maintenant esclave Katia enroulait sa langue sur mon gland pour le nettoyer, le Maître, Lui, attrapait entre ses pouces et ses index mes deux tétons bien durs, bien bandés et les frottait doucement, les écrasait, les faisait tourner jusqu’à ce que je sois forcé de fermer les paupières et de me cambrer, gémissant et suppliant de douleur-plaisir comme une chienne en rut sous les assauts de ces nobles Doigts. A chaque torsion savamment appuyée, c’était un muscle différent qui réagissait, qui me brulait, qui accentuait mon érection, ce qui en résultait que plus j’avais mal et plus je bandais comme un taureau. Le Maitre continuait, Il tournait et tournait, pinçait et tirait… Jusqu’à ce que je n’en puisse plus, jusqu’à ce que je pousse des hurlements, la nouille prête à exploser, jusqu’à ce que la bouche d’esclave Katia se dégage justement de ma nouille. Et le Châtelain exprima, résuma ...
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