1. Un entretien de débauche


    Datte: 05/04/2024, Catégories: fffh, couleurs, Collègues / Travail grossexe, grosseins, groscul, hotel, boitenuit, danser, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, préservati, fsodo, Partouze / Groupe Humour Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... libéré chez la Noire, carrément vulgaire dans la crudité de son plaisir, plus réservé verbalement chez la petite blonde mais pas avare de décibels pour autant et particulièrement ardente de la croupe. L’une et l’autre baisaient sans retenue et c’était le principal. Élise jouissait de cette peau noire contrastant avec la blancheur de la sienne tandis que Sandra se délectait des tatouages virilisés qui l’honoraient en même temps que la queue.
    
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    Quand elle se remémora plus tard cette nuit époustouflante, une fois rendue à sa vie habituelle d’épouse, mère et manageuse, Élise avait conservé quelques images chocs qui alimentèrent longtemps ses pensées érotiques. D’abord, le torse sculptural de son amant noir, qui la subjuguait quand elle le chevauchait, le plus beau corps qui ne l’ait jamais honorée. Ensuite, le regard que lui adressa Sandra sur le lit voisin tandis qu’elles se faisaient prendre par-derrière en même temps, un regard gai, complice, qui annonçait une intimité nouvelle entre les deux collègues de travail. Puis toujours chez la même Sandra, son empalement sur l’homme tatoué, dos à lui, les mains d’elle posées en appui et en arrière sur le torse de l’homme, ce qui permit à Élise de voir la jonction de deux sexes de couleurs différentes en fusion totale, pleins d’ardeur. L’observatrice, elle-même alors en plein coït, n’avait jamais vu de film porno et donc jamais constaté le plaisir ressenti par une femme du fait de la pénétration, ici hyper réaliste, ...
    ... d’un pénis raide et puissant, allant et venant de toute sa longueur dans un antre féminin béant et mouvant. Cette vision inédite lui occasionna un orgasme que le Noir prit pour l’activité de sa queue. Ces trois images édifièrent Élise : elle jouissait autant avec ses yeux qu’avec son sexe.
    
    Dans le méli-mélo des quatre corps réunis sur les deux lits jumeaux, Élise ne fit que suivre les directives de sa chef comptable, beaucoup plus expérimentée. Ses tabous sautaient les uns après les autres. Jamais elle ne s’était trouvée nue en présence de trois autres personnes aussi nues qu’elle. Mais elle n’en ressentait aucun complexe, aucune gêne. Mieux, elle en était très excitée. Elle découvrait et adoptait des positions nouvelles et accepta même un échange de partenaire, ce qu’elle n’aurait jamais imaginé vivre un jour. Et encore moins s’accoupler avec un type aux antipodes de ses canons masculins avec ses tatouages, sa boucle d’oreille et son crâne rasé. Mais son corps n’était plus qu’un incendie intérieur à tel point que Sandra lui dit plus tard qu’elle aurait été mûre pour un gang bang, expression qu’Élise découvrit en même temps.
    
    Sa découverte se limita néanmoins à un acte tout aussi inédit pour elle : la sodomie. Très inspiré par sa croupe somptueuse, le dénommé Alex émit le désir de la prendre « par le petit trou » alors que Sandra se faisait elle-même sodomiser par Augustin sous l’œil ébahi de sa collègue. Comprenant qu’elle était vierge de ce côté-là, le tatoué y mit les ...
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