Un entretien de débauche
Datte: 05/04/2024,
Catégories:
fffh,
couleurs,
Collègues / Travail
grossexe,
grosseins,
groscul,
hotel,
boitenuit,
danser,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
préservati,
fsodo,
Partouze / Groupe
Humour
Auteur: Jacquou, Source: Revebebe
Élise reçut le message de sa direction avec une réelle angoisse. Elle lui enjoignait de rejoindre le siège de l’entreprise au plus vite pour « un point d’étape ». Elle n’était pas dupe. Directrice d’une filiale en déficit chronique, elle savait qu’elle n’avait pas atteint ses objectifs et que sa direction allait lui laver la tête. Peut-être même la licencier, ce qui, à 40 ans, mariée à un petit fonctionnaire, mère de deux enfants et apportant le meilleur salaire, et de loin, ne constituait pas une perspective réjouissante. Elle en informa aussitôt son amie et chef comptable Sandra, autre quadra, qui comprit à la mine chiffonnée d’Élise que quelque chose n’allait pas. Quand elle en sut la raison, elle entra dans un long développement qui avait pour but de regonfler le moral de la directrice.
D’origine sénégalaise mais née en France, Sandra avait conservé de ses ancêtres une forme de jovialité spontanée qui rassurait toujours Élise, de nature inquiète. Si elles ne se ressemblaient pas au moral, au physique non plus. Alors qu’Élise était le prototype du petit format aux cheveux châtain clair et aux yeux vert menthe, Sandra affichait 1,78 m sous la toise et 75 kg sur la balance, restait fidèle aux dreadlocks, et étalait sans complexe une sexualité débordante avec une tenue mettant en valeur des seins en obus et un fessier bombé typiquement africain. Ses robes courtes et décolletées mettaient en émoi l’élément masculin de l’entreprise dès que cette quintessence de la femelle ...
... sortait de son bureau de chef comptable. Au contraire, Élise s’habillait sobrement et cherchait à effacer une cambrure très nette qui rendait son corps dissymétrique par rapport à ses petits seins.
— Tu n’as pas à t’en faire, on va monter un plan qui va mettre le patron dans ta poche. Mais pour ça, il faut que je t’accompagne, dit la chef comptable à la directrice.
Celle-ci aurait accepté n’importe quoi pour se rassurer et accéda sans barguigner à la proposition de Sandra, dont le plan était simple. Il s’agissait de jouer sur la sexualité face à un aréopage âgé, peut-être frustré et un tantinet voyeur. La chef comptable entraîna sa directrice dans un magasin de prêt-à-porter :
— Il faut que tu mettes ton corps en valeur et particulièrement ton cul.
— Mais il est trop gros !
— Non, tu es cambrée et quand tu marches, il remue juste ce qu’il faut pour donner des idées à un mâle. Tu vas aussi montrer tes jambes et oublier le soutif, des nichons peuvent s’en passer.
Et c’est ainsi qu’Élise se trouva nantie d’une robe arrivant à mi-cuisses, très étroite au bassin, décolletée dans le dos jusqu’aux reins.
— J’ai l’air d’une pute avec ça, rétorqua-t-elle.
— Non, d’une femme qui baise, et c’est ça qu’il faut mettre dans le crâne de ces vieux barbons. Et c’est aussi ce que je vais faire pour t’accompagner.
Au jour J, Élise n’était guère à son aise dans sa nouvelle robe mais Sandra n’arrêtait pas de rire de toutes ses dents éclatantes :
— Tu vas voir, je vais leur ...