1. Clémence, premiers émois


    Datte: 05/04/2024, Catégories: fh, ff, fplusag, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, rasage, fouetfesse, piquepince, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... circonstances qui l’avaient amenée à sa fonction de cuisinière.
    
    — Je vous en prie, j’aimerais savoir comment vous avez rencontré Me. L*. J’ai cru comprendre qu’il y avait une relation étroite entre vous, la pressait Colette.
    
    Son insistance lui parut vaine lorsqu’elle vit Clémence se lever et jeter un coup d’œil par la fenêtre. En suivant son regard, elle aperçut, au centre de la petite carrière qu’elle avait remarquée la veille, la silhouette altière de Irène autour de laquelle cavalcadait, coudes au corps et genoux haut levés, celle plus fluette et nue d’Aloïse. Le spectacle parut rassurer son interlocutrice qui se rassit et, contre toute attente, accepta de répondre à sa curiosité.
    
    Ève n’avait guère plus de quinze ans lorsque Clémence avait fait sa connaissance. La jeune fille revenait, Bac Philo en poche, d’un pensionnat en Suisse. Ses parents avaient programmé un lointain voyage pendant les vacances d’été et avaient proposé à Clémence, dont la famille travaillait sur leurs propriétés, de jouer les demoiselles de compagnie pendant trois mois moyennant une fort honnête rémunération.
    
    — J’avais vingt ans de plus qu’elle, précisa Clémence, et j’étais subjuguée par son aplomb et sa maturité. Elle m’a tutoyée tout de suite et charmée dans la foulée. Sa conversation était passionnante pour une fille de la campagne comme moi. J’étais en admiration devant ses connaissances. J’ai appris d’elle en quelques jours bien plus que dans toute ma pauvre scolarité. Elle ne ...
    ... m’imposait rien, mais, par gratitude, j’avais à cœur de deviner ses souhaits et j’étais devenue sa bonne à tout faire.
    
    La première semaine se passa dans cette harmonie qui rapprochait de plus en plus la jeune Ève et son aînée. Les liens de subordination s’estompaient peu à peu au profit d’une affection qui tenait de la relation entre tante et nièce, pour ne pas dire de mère à fille, plus que de la camaraderie entre égales et encore moins d’un attachement de servante à maîtresse.
    
    Ève ne manifestait aucune des pudeurs d’une adolescente vis-à-vis d’une femme adulte. Elle se montrait nue à Clémence sans la moindre gêne et n’hésitait pas à lui confier ses pensées et ses fantasmes érotiques, voire ses pratiques sexuelles onanistes qu’elle affirmait naturelles et communes à toute féminité normalement constituée. Clémence, d’abord interloquée et réservée, s’était rapidement laissée convaincre par cette philosophie au point d’avouer ses propres émois de cœur et de sexe, comme son désir de toujours contenter sa cadette.
    
    — Elle m’a prise au mot peu de temps après que je lui aie dit que je ferais n’importe quoi pour elle, sourit Clémence. Un matin, elle m’a demandé de me déshabiller entièrement. Je n’avais encore jamais été nue devant elle. J’ai rougi mais je l’ai fait.
    
    Ève lui expliqua que, si ses condisciples et elle avaient souvent comparé les détails de leurs corps, elles n’avaient jamais pu apprécier l’anatomie d’une vraie femme. Elles avaient certes espionné parfois leurs ...
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