Ma voisine, la voyeuse
Datte: 12/07/2019,
Catégories:
Lesbienne
Masturbation
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: isold, Source: xHamster
... à ma place pour prendre la table basse et la déplacer sur le côté afin qu’il n’y ait plus rien entre sa chaise et le canapé. Je suis revenue vers elle, comme si j’allais me m’installer à nouveau sur le sofa, mais au lieu de m’asseoir, j’ai commencé à déboutonner mon jean. Déjà qu’il faisait chaud, la situation que j’avais installée n’avait rien en elle-même qui pût rafraîchir l’atmosphère. Je l’ai vue avaler sa salive. J’avais la peau un peu moite. De ce fait, en descendant petit à petit mon jean de mes hanches, ma culotte avait du mal à s’en détacher et descendait en même temps que lui. Un instant, j’ai voulu les séparer tous les deux pour commencer à n’enlever que le jean. Mais tout compte fait, j’ai laissé venir comme ça. Essayer quand même m’aurait obligée à des contorsions qui auraient rompu le charme de l’effeuillage et de plus, ça pouvait donner l’impression au premier abord, même si l’on se rendait compte de l’erreur par la suite, que me trouvant nue en baissant le jean, je ne portais pas de culotte, ce qui donne toujours un petit côté coquin et qui m’arrive parfois.
Le jean sur les chevilles, je me suis assise pour retirer mes chaussures et pouvoir enfin me débarrasser de ce vêtement. Toujours assise et sans la quitter des yeux, j‘ai ouvert quatre boutons de mon chemisier en n’en laissant boutonnés que deux. Puis j’ai lentement glissé mes mains le long de mes cuisses nues, jusqu’aux genoux, ai basculé les mains vers l’intérieur pour les ramener vers moi en ...
... caressant l’intérieur des cuisses tout en les écartant lentement mais en mesurant bien l’allure pour qu’en fin de course, les mains quasiment sur mon sexe, j’aie les genoux bien écartés, ouverts à la vue de ma spectatrice. Je me suis laissée aller en arrière pour m’adosser et m’installer confortablement sur le divan, les yeux fermés, la tête en arrière reposant sur le dossier et j’ai commencé à me branler avec volupté comme si j’étais seule en m’abandonnant avec plaisir à son regard.
J’étais heureuse. Heureuse et excitée à la fois. J’avais les yeux fermés mais je la sentais là, à deux pas en train de m’observer. Je l’imaginais la bouche ouverte, le souffle court, avalant avec difficulté sa salive, ses yeux me parcourant le corps de la gorge aux pieds en s’attardant sur mes seins qu’on ne voyait pas pleinement mais qu’on devinait dans la grande échancrure du chemiser, sur mon ventre qui palpitait, sur mon sexe et mes doigts qui s’activaient sur mon petit bouton du plaisir. Je la devinais me dévorant des yeux. Et moi, j’étais là, à moins d’un mètre en train de me branler délicieusement devant elle, jouissant déjà du plaisir que j’éprouvais à me montrer devant elle en toute impudeur. J’avais aussi l’impression diffuse que j’installais entre nous une sorte de complicité. Pour moi, c’est une forme de confiance absolue que de se branler devant quelqu’un. On partage avec elle son intimité sans crainte d’être jugée, en étant soi, tout simplement. C’est une preuve de confiance qu’on lui ...