Tiago rejoint Alice et Sara dans la villa - Histoires de Sexe

Tiago rejoint Alice et Sara dans la villa

... fixa ma femme avec un grand sourire. Arrêtant de me chevaucher, elle déposa un baiser sur mes lèvres avant de rejoindre Alice qui s’était éloignée. Alors que je me relevai – encore fébrile de notre chevauchée – sans néanmoins les quitter des yeux, les deux femmes s’installèrent sur le bord opposé du lit, l’une à côté de l’autre, à quatre pattes. Sans m’attendre, elles commencèrent à s’embrasser, feignant de m’ignorer ostensiblement. Arrivant derrière, j’observai avec envie leurs deux chattes trempées, ouvertes, attendant d’être baisées par ma queue. Choisissant d’honorer en premier l’instigatrice de cette initiative, mes mains se posèrent sur les fesses si galbées d’Alice. Je poussai ma queue avec habitude dans son vagin brûlant. Elle réagit d’abord à peine, toute aux baisers obscènes qu’elle échangeait avec Sara sous mon nez. J’étais comme saoul. Je me cramponnais à son cul et la pénétrais de toute ma longueur, mes doigts laissant des traumatismes rouges sur sa peau nacrée. Elle lâchait par moment de courts râles évocateurs qui me rendaient fou. Ma queue en action disparaissait entre ses petites lèvres largement écartées, son vagin déformé par le diamètre de ma queue qu’elle accueillait.

Quelques minutes plus tard, je me forçai à m’arrêter et, après avoir embrassé le dos immaculé d’Alice, je me dégageai, laissant la chatte d’Alice béante, souillée. Lentement, à un rythme mesuré, contrôlé, je me positionnai derrière Sara. Ma queue était raide comme un piquet, maculée de ...

... différentes pertes et prête à conquérir la belle Américaine. Lorsque mes mains se positionnèrent sur ses fesses musclées, je sentis un frisson la parcourir de la tête aux pieds. Sans plus de préliminaires, je poussai lentement mon gland entre ses petites lèvres et entrai doucement dans son vagin embrasé, centimètre par centimètre. Je positionnais mes mains aux creux de ses genoux, tâtant alternativement ses mollets et ses cuisses. Une fois mon sexe introduit de toute sa longueur dans son vagin, je commençai de réguliers va-et-vient. Je lui caressais le cul, les hanches, le dos, la nuque. Alice s’était rapprochée, se glissant au plus près de Sara. Cette dernière l’embrassait sur la bouche, dévorait ses seins. La sensualité dégagée par les deux belles enlacées m’hallucinait. Dans le même temps, j’accélérais. Comme un démon, je poussais en Sara, une de mes mains caressant le ventre chaud d’Alice, l’autre reposant sur la nuque veloutée de l’Afro-Américaine. Je sentis monter en moi l’orgasme, désormais irrépressible. C’est alors que Sara dévorait les plantureux seins d’Alice, les suçant de manière passionnée comme moi-même avais souvent procédé, que je me sentis partir, vriller. Poussant ma queue au plus loin dans la jeune femme, je jouis d’un orgasme violent, expulsant le sperme au plus profond de son ventre par jets répétés alors que mes mains serraient vigoureusement ses adorables fesses. Sara avait relâché le sein d’Alice et criait « oh putain… oh putain… » pendant que ma verge ...