1. Tiago rejoint Alice et Sara dans la villa


    Datte: 01/04/2024, Catégories: ffh, amour, odeurs, Oral pénétratio, totalsexe, couplea3, Auteur: Pascal L'Arc, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents :
    
    Alice et Tiago, en vacances à Los Angeles, ont rencontré la belle afro-américaine, Sara, lors d’un vernissage. L’attirance est mutuelle et immédiate. Ils invitent Sara à venir découvrir leur villa quelques jours plus tard. Lors de cette visite, les corps s’attirent. Alice et Sara se rapprochent. Elles prennent les devants et demandent à Tiago de les rejoindre quelques minutes plus tard.
    
    De retour dans l’immense salon climatisé, je contournai la table centrale en verre, massive sur son pied de béton brut griffé d’aluminium, passant à côté du monumental tableau «Brackets» de Joan Mitchell, aux explosions de couleurs chatoyantes qui illustrait à merveille mon état d’esprit du moment, avant d’aboutir à l’escalier central. Ce dernier, hélicoïdal, s’enfonçait jusqu’aux étages inférieurs et s’élevait également vers les chambres à coucher. Sur la première marche de marbre blanc veiné, avait été abandonné le haut de maillot de Sara. J’imaginais Alice, joueuse, défaire le nœud du vêtement de bain, puis plaquer la délicieuse Angeline contre le mur pour l’embrasser avec fougue, les deux mains pressées sur ses seins ronds et dénudés. Avide de les rejoindre, je commençai à gravir les marches une à une, silencieusement, à l’écoute des bruits de la maison, mais seuls les bruits de mes pas me parvenaient pour l’instant. Arrivé à l’étage, à l’entrée du couloir menant à la chambre, je trouvai par terre le haut d’Alice, abandonné à son tour, comme pour ...
    ... un jeu de piste. Sara ne pouvait qu’avoir rendu la pareille à ma femme pour profiter de sa poitrine généreuse, engloutissant dans sa bouche gourmande les splendides tétons tour à tour, durcis par l’envie.
    
    Je m’engageai dans le long couloir à cet étage, dont la paroi extérieure était en verre, qui donnait sur la chambre principale située plein sud, dans l’angle le plus élevé de la villa. La lumière du jour était vive à cette heure. Quelques murmures me parvenaient maintenant, indistincts. La dernière porte, celle de notre couche, était entrebâillée. Je l’ouvris pour y pénétrer, lentement. Les rideaux étaient tirés sur la majeure partie des vitres, mais un espace conséquent permettait de continuer de profiter de la vue exceptionnelle dont jouissait cette pièce sans être incommodé par une luminosité aveuglante. La deuxième chose que j’aperçus, fut le bas du maillot de Sara sur le sol. Elles étaient bien là. Encore légèrement en retrait, relevant les yeux, je me délectai du spectacle que m’offrirent les deux jeunes femmes. L’Américaine était sur le bord du lit taille royale, entièrement nue, reposant sur les coudes, la tête en arrière, ses beaux seins dressés par la passion. Alice, à genoux sur l’épaisse moquette de la chambre, portant toujours son bas de maillot, entre les cuisses de sa complice, lui léchait la vulve à petits coups de langue avec une évidente délectation. Malgré la climatisation du lieu, ce spectacle et l’envie me donnèrent chaud. Mon sexe était dressé, dur, ...
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