Mes vacances à la Baule - Le ressac
Datte: 01/04/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Briard, Source: Hds
... fait rien mon amour. Garde-moi dans tes bras, je suis bien.
Il y eût plusieurs autres tentatives qui se vouèrent toutes à l’échec. Je n’étais plus capable de pénétrer Marie. Trop de choses s’étaient brisées en moi, je ne savais pas si je serais de nouveau capable de faire l’amour, à Marie, ou à une autre femme !
Le temps passait et je ne trouvais aucune solution. Je commençai à me sentir dépressif et me rapprochai de Typhaine, dont la réconfortante présence et le soutien indéfectible me faisaient du bien. Plusieurs couples se présentèrent, intéressés par l’achat de la maison, jusqu’à ce que l’un d’eux revienne avec une offre qui finit par me convaincre de vendre.
Marie ne fit aucune histoire, résignée et vaincue. Nous nous séparâmes sans désaccord majeur, partageant finalement la garde d’Élise.
Un an plus tard, je me remariai avec Typhaine qui mis au monde deux magnifiques jumeaux quasiment neuf mois après nos noces.
Je revois régulièrement Marie, lors de l’échange de notre fille. Elle a eu bien du mal à se remettre de notre séparation et vit seule dans un logement HLM de banlieue. Elle a changé, ses traits se sont épaissis et elle fait triste figure en permanence. Je ne reconnais plus la femme dont j’ai été follement amoureux et suis heureux, finalement, d’avoir pris la meilleure solution.
Fin 2, une renaissance providentielle.
Alain
J’ai repris la cohabitation avec Marie. Elle s’occupe beaucoup de notre petite Élise, pour occuper ses journées en ...
... attendant de pouvoir de reprendre son travail. Elle est très attentionnée avec moi. Quand je rentre du bureau, elle s’inquiète de ma journée, et me prépare mon repas. Je la sens triste, effacée, perdue. Elle cherche souvent mon regard, avec beaucoup de remord dans les yeux. Je ne m’attarde jamais trop lorsque nous sommes tous les deux après qu’Élise ait été couchée. Je lui souhaite bonne nuit et vais dormir dans la chambre d’amis.
Un soir, je n’étais pas encore endormi, la porte de la chambre s’entrouvrit. Marie se tenait dans l’embrasure, à peine éclairée par la pénombre venant du salon. Elle s’approcha du lit.
« Alain, tu ne veux pas que l’on essaye de se réconforter tous les deux. J’en ai tellement besoin. Je suis sûre que tu en as autant envie que moi.
Je me mis sur le côté et la laissé s’allonger contre moi.
« Prends-moi dans tes bras mon amour, tu m’as tellement manqué.
Nous nous embrassâmes et elle me prit le visage dans ses mains. Je lui caressai les seins puis les embrassai tendrement. Elle m’avait manquée, je me rendis compte à quel point tout à coup. Marie, ma marie. La femme que j’ai voulu avoir auprès de moi, la mère de mon enfant. Mon désir s’est éveillé et elle dû le sentir car elle se serrai plus fort contre moi. Elle dégagea sa main et vint doucement me caresser le pénis, maintenant déployé au maximum.
« Vient en moi, je t’en prie mon amour, j’ai tellement envie de toi.
Je basculai sur elle quand je me mis à penser à Bernard. Le corps de ...