1. Mes vacances à la Baule - Le ressac


    Datte: 01/04/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Briard, Source: Hds

    ... cache rien. Je n’ai pas couché avec elle. Moi je ne peux faire l’amour sans sentiments, sans aimer ma partenaire, au contraire de toi ! Je n’ai pas suffisamment de sentiments pour Typhaine pour en arriver là et, que je le veuille ou non, nous sommes encore mariés. Mais sache que je ne te quitterai pas pour elle. Je te quitterai parce que je ne t’aime plus.
    
    « Je comprends ton désarroi et je te suis reconnaissante de ta franchise, même si je ne suis pas certaine de la mériter. Tu es un homme merveilleux et droit, et je t’ai aimé et je t’aime encore, en grande partie pour cela.
    
    Typhaine s’avança vers Marie
    
    « Je suis ravie, malgré les circonstances, de faire votre connaissance Marie. Sachez que je suis, moi aussi, une femme honnête. Je ne vous prendrai pas votre mari. Il sera de nouveau célibataire et nous pourrons envisager une vie en commun, ou je resterai sa secrétaire, et son amie.
    
    Je remerciai Typhaine et la laissai s’en retourner.
    
    Voici maintenant deux fins possibles :
    
    Fin 1, la séparation inéluctable et définitive
    
    Alain
    
    J’ai repris la cohabitation avec Marie. Elle s’occupe beaucoup de notre petite Élise, pour occuper ses journées en attendant de pouvoir de reprendre son travail. Elle est très attentionnée avec moi. Quand je rentre du bureau, elle s’inquiète de ma journée, et me prépare mon repas. Je la sens triste, effacée, perdue. Elle cherche souvent mon regard, avec beaucoup de remord dans les yeux. Je ne m’attarde jamais trop lorsque nous ...
    ... sommes tous les deux après qu’Élise ait été couchée. Je lui souhaite bonne nuit et vais dormir dans la chambre d’amis.
    
    Un soir, je n’étais pas encore endormi, la porte de la chambre s’entrouvrit. Marie se tenait dans l’embrasure, à peine éclairée par la pénombre venant du salon. Elle s’approcha du lit.
    
    « Alain, tu ne veux pas que l’on essaye de se réconforter tous les deux. J’en ai tellement besoin. Je suis sûre que tu en as autant envie que moi.
    
    Je me mis sur le côté et la laissé s’allonger contre moi.
    
    « Prends-moi dans tes bras mon amour, tu m’as tellement manqué.
    
    Nous nous embrassâmes et elle me prit le visage dans ses mains. Je lui caressai les seins puis les embrassai tendrement. Elle m’avait manquée, je me rendis compte à quel point tout à coup. Marie, ma marie. La femme que j’ai voulu avoir auprès de moi, la mère de mon enfant. Mon désir s’est éveillé et elle dû le sentir car elle se serrai plus fort contre moi. Elle dégagea sa main et vint doucement me caresser le pénis, maintenant déployé au maximum.
    
    « Vient en moi, je t’en prie mon amour, j’ai tellement envie de toi.
    
    Je basculai sur elle quand je me mis à penser à Bernard. Le corps de Bernard, les mains de Bernard, la langue de Bernard, la queue de Bernard. Mon érection disparu- aussitôt. Je retournai de mon côté.
    
    « Désolé marie, mais je n’y arrive pas. Je pense à Bernard. Tout ce qu’il t’a fait, tout ce que tu t’es laissée faire. J’imagine son rire en me voyant essayer de te prendre.
    
    « Ça ne ...