1. Adeline, Yannick et Patricia


    Datte: 28/03/2024, Catégories: fh, hplusag, couple, alliance, caresses, entreseins, Oral pénétratio, fsodo, diffage, prof, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... gourmande.
    — Je te l’ai dit, a-mou-reu-se ! Allez, viens…
    
    Épilogue
    
    Comme les gens heureux n’ont pas d’histoire, inutile de conter dans le détail les vingt années qui viennent de s’écouler. Nous avons fait l’acquisition d’un grand camping-car pour courir l’Europe. Grand n’est pas le terme adapté, c’est en fait un véhicule de taille moyenne, mais dont les côtés coulissent de soixante centimètres chacun à l’arrêt. Malgré tout utilisable refermé, mais alors aussi exigu qu’un autre, ce mètre vingt supplémentaire offre un immense confort. Trouver plus opposé que moi à ce genre d’engin était pourtant difficile, moi l’ancien baroudeur au simple sac à dos. Cependant, je dois avouer qu’il offre plein d’avantages. Il nous permet de voyager à notre guise et à moindre coût, de faire l’amour quand nous le voulons sans déranger personne, de nous poser dans les endroits les plus déserts possibles pour que Patricia puisse exposer tranquillement sa nudité au soleil, à mes regards lubriques et à mon objectif.
    
    Elle a pris goût aux études et les poursuit en prenant son temps par une licence puis un master. Cet essor intellectuel lui confère une certaine assurance, une confiance en soi, une aisance et une culture qui l’élèvent bien au-dessus du rôle de « belle plante » qu’elle craignait être son unique vocation. Ayant toujours l’envie de l’étonner, je lui organisais des sorties culturelles qu’elle n’avait jamais vécues : l’opéra, la Villette, les grands musées, le Palais de la ...
    ... Découverte, le Futuroscope, Lascaux, etc.. Elle découvre tout avec un appétit insatiable qui fait plaisir à voir. Cependant, avec toutes ces sorties, sa grande préoccupation du moment devient la tenue vestimentaire. Précédemment, elle allait au moins cher, au plus pratique et refoulait ses désirs ô combien féminins de belles toilettes. Il s’avère qu’elle est très difficile à habiller. Quand on a des hanches et une forte poitrine, toute tenue un peu floue, gommant le dessin de ses formes, la fait paraître grosse, ou du moins plus qu’elle ne l’est.
    
    — Comment tu me trouves ?
    — À l’odeur, je crois…
    — Affreux jojo ! Dis-moi franchement si ça me va.
    — Franchement ? Non, ça fait mémère.
    — Pfff… Remarque, comme je vis avec un vieux, je vais peut-être la prendre quand même !
    
    En fait, ce qui lui sied le mieux, ce sont les vêtements près du corps, des secondes peaux en quelque sorte, qui soulignent le dessin de ses formes magnifiques. Pour aller à l’opéra, je lui ai offert un fourreau de satin bordeaux qui la moule au millimètre, profond décolleté dans le dos jusqu’aux reins et la longue jupe fendue haut sur la cuisse. Gants noirs, escarpins et pochette noirs, elle est étourdissante et, lorsque nous faisons notre entrée, elle fait le spectacle dans la célèbre salle, soulevant dans son sillage une vague de murmures d’admiration. J’avoue que lui tenir le bras est fort agréable, d’autant que moi je sais que rien n’a pu trouver place entre le satin et sa peau nue.
    
    Quelques épisodes ...