Adeline, Yannick et Patricia
Datte: 28/03/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
couple,
alliance,
caresses,
entreseins,
Oral
pénétratio,
fsodo,
diffage,
prof,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... loin de dix kilos, hanches rebondies, fesses et cuisses charnues, taille moins marquée et épaules bien développées, poitrine généreuse. Oubliée la nymphette, place à la trentenaire épanouie. Sa silhouette plus épaisse ne la rendait pas moins appétissante, au contraire, cela la rapprochait de moi et de mes tempes grisonnantes. C’est là que je remarquais quatre discrètes petites bosses sur le haut de ses cuisses.
— Qu’est-ce que c’est ? demandai-je en montrant du doigt ?
— Devinez. Vous me souhaitez toujours « disponible », non ?
— Oui, et alors ?
— Alors…
Elle s’approcha de moi, me débarrassa de mon verre de whisky sur un guéridon et vint s’asseoir sur mes genoux. M’enlaçant le cou, elle déclara :
— Je tiens à vous expliquer, avant que vous n’utilisiez l’affreux mot de « salope » ou que vous me croyiez sans cœur. D’abord, je respecte votre souhait de me vouloir « disponible » en permanence. Ensuite, aujourd’hui c’était particulier. Je ne crois pas en l’au-delà, mais sait-on jamais. J’avais un message à faire passer à Yannick. Grâce à lui, j’ai trouvé mon prince charmant, car sans lui je ne vous aurais sans doute jamais rencontré. Je ne l’aimais plus, si toutefois je l’ai jamais vraiment aimé, il m’en a trop fait voir. Lui-même ne tenait pas à moi, nous en avons eu la preuve. J’aurais aimé qu’il sache ce que je pouvais être, moi, pour un homme que j’aime, et ce sans salir sa mémoire que je respecte.
— Toi alors, dis-je en glissant ma main le long de ses ...
... cuisses.
En progressant, je découvris qu’elle portait des bas tenus par un porte-jarretelles et sans la moindre culotte. Il s’avéra que ses seins lourds étaient libres également. Pardon Yannick, mais ta petite femme est vraiment trop désirable. Où tu es, tu t’en fous, d’autant que tu avais, semble-t-il, trouvé ton bonheur ailleurs, loin de la maison paternelle où tu ne devais pas te sentir très à l’aise. « Zip » fit la fermeture à glissière de sa robe durant notre baiser, puis après quelques contorsions l’étoffe noire s’envola. Ses seins étaient à portée de ma bouche qui s’en empara. Ma main investit son intimité déjà humide. Retrouvailles des sens, des gestes du plaisir, qui scellèrent définitivement notre nouvelle vie de couple, enfin totale. Délire que le galbe de ses jambes gainées de nylon, que ce corps chaud et réactif posé sur mes genoux. Mon pouce sur son clitoris, mon majeur dans son vagin, ses zones les plus sensibles étaient prises dans mon étau qui oscillait doucement, puis de plus en plus vite tandis que je croquais à l’envi ses macarons à la framboise. Les crispations spasmodiques de ses fesses entretenaient délicieusement ma furieuse bandaison. Dans une vibration frénétique de la main, je la conduisis jusqu’à l’orgasme, si aisé à atteindre après deux semaines de privation. Un flot de cyprine inonda mon pantalon et le fauteuil, quelle importance ?
Revenant à elle, elle me gratifia d’un fabuleux baiser et sans rien dire, se laissa glisser jusqu’au sol, à genoux entre ...