Adeline, Yannick et Patricia
Datte: 28/03/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
couple,
alliance,
caresses,
entreseins,
Oral
pénétratio,
fsodo,
diffage,
prof,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... prête à subir les derniers outrages sans broncher.
— Ah ! C’est pas mal non plus, remarqua-t-elle quand j’eus inondé ses intestins de ma semence.
Plus que « pas mal », son conduit serré et les contractions qu’elle lui donnait m’avaient arraché un invraisemblable orgasme. J’en profitai pour satisfaire ma curiosité :
— Où as-tu appris à sucer comme ça ? C’est vraiment du grand art.
— Ah ! C’est la « sortie de secours ». J’avais une copine au lycée qui avait une grande sœur. Elle lui avait dit : « si tu veux pas passer à la casserole, il faut apprendre à tailler des pipes. Les mecs ne pensent qu’à se vider les couilles, peu importe le moyen. Et comme ça, tu crains rien, ni maladie, ni marmot ! » Alors on s’est entraîné, avec des bouteilles d’abord, sur des copains ensuite. Ça marchait tellement bien qu’on avait appelé ça « sortie de secours », un moyen d’échapper au danger.
— Pas mal vu, en tout cas belle technique.
Mon cœur avait tapé si fort que je m’en inquiétai et décidai d’aller consulter un cardiologue. Je le demandai à mon docteur habituel, ainsi qu’une analyse de sang complète du type check-up des 55 ans. Le cardiologue m’examina, me fit passer électro, échographie, test à l’effort et me demanda pourquoi je venais le consulter.
— C’est un check-up, pour savoir où j’en suis.
— Aucune anomalie, la pompe et les tuyaux sont en parfait état, tout est normal.
— En fait, je suis veuf et j’ai rencontré quelqu’un de plus jeune que moi. Je fais un peu le jeune ...
... homme, là, et je crains que la machine ne suive pas…
— Rassurez-vous, c’est excellent pour le cœur, comme si vous faisiez un sport intense. Sachez que faire l’amour, j’entends sans ménagement, équivaut à porter un sac de ciment de 50 kg pendant cent mètres ! Continuez, c’est très bon.
J’en ai porté des sacs de ciment, des palettes entières dans les mois qui suivirent. Ça n’empêchait pas de travailler et de bien travailler. Patricia était inscrite aux cours du CNED et avait d’excellents résultats. Mais voilà, avec mon aide et sous mon contrôle et avec toutes les ressources dont elle disposait : bouquins, Internet qui commençait à se développer fortement, des annales et leurs corrigés, etc. Souvent le soir nous regardions la télé, ne ratant pas une émission politique ou économique, et nous en discutions longuement afin qu’elle intègre bien tous les éléments à l’éclairage de mes souvenirs et de l’enchaînement historique des faits. C’était intéressant et enrichissant pour moi également car, petit à petit, elle me poussait dans mes derniers retranchements d’analyse et de commentaires. Mais la proximité des corps sur le canapé finissait aussi souvent en parties de jambes en l’air. Cette fille me faisait incroyablement bander et je me souvenais de cette phrase de Mitterrand : « je crois aux forces de l’esprit », pensant qu’éventuellement Adeline n’était pas étrangère à notre rencontre et au bonheur que je vivais.
Quelques mois passèrent dans cette parfaite harmonie, et un soir ...