Adeline, Yannick et Patricia
Datte: 28/03/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
couple,
alliance,
caresses,
entreseins,
Oral
pénétratio,
fsodo,
diffage,
prof,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... ahanant.
Il fallait aller voir de près ce qui se passait plus bas. Descendant le long du petit ventre délicatement formé, m’attardant quelques instants sur la cavité profonde du nombril, j’arrivais jusqu’au ticket de métro soigné ornant son mont de Vénus. La même dilatation l’avait envahi, le faisant saillir anormalement, alors que les deux grandes lèvres ressemblaient déjà à deux petits pneus brillants et gonflés comme pour un rallye, pressant entre eux la petite crête fripée et brune des petites lèvres. Pas d’attaque directe. Les cuisses sollicitées s’écartèrent largement offrant à mes baisers l’infinie douceur de leurs faces internes. Les « Oh ! », les « Ah ! », les « Prends-moi, je t’en supplie, prends-moi ! » ne m’empêchèrent pas de poursuivre mon exploration méthodique, léchant la plante des pieds, suçotant les orteils, puis revenant vers les délicates merveilles du trésor caché. Une abondante rosée sourdait du sillon palpitant qui ne demandait qu’à s’ouvrir, ce que je fis de la pointe de la langue. Nous passâmes aux petits cris, et les mains de ma belle avaient remplacé ma bouche sur ses seins. Saisissant les fines muqueuses entre mes doigts, je lapais d’une large langue les sucs débordants puis prolongeais mon mouvement de la rosette plissée jusqu’au petit bouton encore encapuchonné. La cape de chair tendre retirée, il m’apparut dans toute sa splendeur rose pâle, dressé et dur comme un petit sucre d’orge ne demandant qu’à être sucé. Je l’aspirai entre mes lèvres ...
... pour mieux le fouetter de coups de langue, et soudain je n’entendis plus ni gémissements ni halètements. Deux puissantes cuisses s’étaient refermées sur mes oreilles, bringuebalant ma tête dans leurs soubresauts.
Quand l’apaisement fut revenu me rendant ma liberté, je contemplai, le temps de souffler cette formidable jonction entre cuisses et bassin. Cet endroit témoignait à lui seul de la puissance athlétique du corps de Patricia. Fuseau avant qui partait haut sur la hanche, large muscle dans le prolongement du fessier sur l’arrière et puissant tendon juste à hauteur de la vulve à l’intérieur. À l’arrière de cette robuste attache, un creux douillet préservait les orifices, clos à l’arrière par l’extrémité des fessiers très développés, meules de chair qui devaient formidablement broyer la queue audacieuse qui oserait s’aventurer entre elles. Cette attache athlétique, impressionnante mais non redoutable, donnait au contraire envie de la saisir à pleines mains, de confronter les forces et d’entamer une joute sexuelle que seul le plaisir pourrait départager. Je replongeais entre ces cuisses sublimes, le sexe turgescent de promesses de bonheur. Un ruisselet de cyprine épaisse et transparente, collante en longs filets au moindre contact s’échappait de sa grotte et stagnait temporairement en une petite flaque sur la rosette palpitante. Aubaine pour mes doigts qui conquirent cet orifice aisément, rappelant à la jeune femme que l’orgasme peut ne pas s’éteindre à l’instigation de ...