Adeline, Yannick et Patricia
Datte: 28/03/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
couple,
alliance,
caresses,
entreseins,
Oral
pénétratio,
fsodo,
diffage,
prof,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... c’est déjà pas si mal vu que j’en étais privée depuis des années. Ensuite, j’aurais été libre et… je ne sais pas, moi, ta femme de ménage, ta secrétaire, ta coiffeuse, ta manucure, ton infirmière, n’importe quoi… eh bien, si tu m’avais draguée, je me serais laissée faire. Tu donnes l’impression de fendre la vie comme une étrave de porte-avions fend la mer. Je t’admire, je te trouve beau, même comme ça, nu avec ta petite brioche, tu as quelque chose de… de noble en toi. Je me sens tellement en sécurité près de toi, je suis trop bien…
— T’es mignonne. Mais enfin, tu es ma belle-fille et ça me mortifie.
— Ouais, ben écoute, c’est fait, c’est fait ! On ne peut pas revenir en arrière et d’ailleurs j’en ai pas envie. Mais rien ne nous oblige à le publier partout. Je veux dire que… Yannick n’est pas forcé de le savoir.
— Ah surtout pas ! J’ai horreur de mentir mais là, ça s’impose. D’ailleurs, on va commencer tout de suite par revenir au vouvoiement pour ne pas faire d’erreur.
— Vous avez raison, Monsieur mon beau-père. Mais peut-être que ça ne nous empêche pas de recommencer, murmura-t-elle en me caressant distraitement les choses de la vie ?
— Quoi, maintenant ?
— Voui… j’ai très envie…
— Mais tu es insatiable, une vraie gourmande, une sacrée petite salope.
— Ah non ! Pas salope. Je suis une femme amoureuse qui peut enfin donner libre cours à ses sentiments. Ça n’a rien à voir. Et puis c’est vous qui me tutoyez, là.
— Exact ! Eh bien, après vous ! répondis-je vaincu, ...
... car déjà en érection.
L’un des paradoxes de l’âge c’est que, bien qu’on ait conscience d’en disposer beaucoup moins que les jeunes, on sait prendre le temps. Chaque « coup » tiré est peut-être le dernier, surtout lorsqu’on tient entre ses bras une jeunette trentenaire. Alors il faut en profiter, faire durer, en goûter chaque seconde, créer les derniers souvenirs fabuleux qui hanteront la mémoire jusque sur le lit de mort. Car enfin, la seule, l’unique vraie richesse que l’on ait sur Terre, c’est bien le temps, et le drame est qu’on ne sait pas combien nous est alloués. La maladie, AVC, infarctus, cancer, Alzheimer, et autre sénilité peuvent frapper dès demain sans prévenir. Aussi, la furia du premier et puissant désir animal étant passée, en ayant bien entamé mes forces il faut l’avouer, je pris tout le temps pour explorer le corps sculptural qui m’était miraculeusement offert. Les seins d’abord, gros, lourds, encore fermes, certainement en volume quatre fois ceux d’Adeline, avec surtout ces aréoles qui, en les excitant de caresses, de coups de langue ou de succions, gonflaient et saillaient comme deux macarons à la framboise, projetant les tétons durcis à près de deux centimètres en avant. Profitant de ces délicieuses gourmandises, je les gobais à pleine bouche pour en tirer tous les sucs d’une langue fouilleuse. Elles révélèrent alors leur hyper sensibilité, directement reliées au bas-ventre de ma partenaire qui se tordait en tous sens, cuisses serrées, en gémissant et en ...