1. Adeline, Yannick et Patricia


    Datte: 28/03/2024, Catégories: fh, hplusag, couple, alliance, caresses, entreseins, Oral pénétratio, fsodo, diffage, prof, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... confusion.
    
    Cependant, le lendemain soir, il fallut bien raccrocher les stores et donc recommencer le manège. Elle grimpa sur l’escabeau avec une certaine agilité, voire allégresse. Je mis cela sur la satisfaction d’un lavage bien fait qui allait rafraîchir notre environnement, et je repris mon poste, les deux mains sur l’échelle et le museau sous sa jupe. Mais… mais… mais c’est sûr, elle ne portait plus de culotte. Rien que les deux lèvres pulpeuses d’une vulve bien gonflée, soigneusement épilée, mettant splendidement en valeur la crête fripée des petites lèvres dépassant légèrement. Je déglutis avec difficulté, comme si j’avalais ma pomme d’Adam toute ronde, sans la croquer. Quand elle redescendit, un large sourire aux lèvres, c’est moi qui étais couleur tomate, un brin gêné par mon activité de voyeur avouée. Son coup réussi, elle voleta jusqu’à la fenêtre suivante en me disant ironiquement :
    
    — Je crois que ça ira, je suis habituée à l’escabeau maintenant.
    
    Yannick, nous ne le voyions plus beaucoup. Il partait très tôt, vers six heures et demie, et rentrait tard, épuisé. Parfois, il mangeait l’assiette qui l’attendait dans la cuisine, d’autres jours il se douchait et allait directement se coucher. Nous regardions la télé avec Patricia, côte à côte sur le canapé, ses belles cuisses croisées sous mon nez, à portée de main.
    
    — Vous n’allez pas le retrouver ?lui demandai-je un soir, étonné.
    — Oh non, il dort déjà. Il y a bien longtemps que nous ne faisons plus rien, ...
    ... lui et moi. Depuis qu’il s’est mis à boire…
    — Mais là, c’est bon, il ne boit plus ?
    — Vous avez senti son haleine ? Il boit moins, ou il le montre moins parce qu’il est ici, mais il boit.
    
    De fait, un soir, il rentra beaucoup plus tard, tenant à peine debout. Comment pouvait-il conduire dans cet état ?
    
    — Ça y est ! J’ai mon embauche pour l’interna… national, balbutia-t-il. Alors j’ai arrosé ça avec les copains, c’est bien normal, non ?
    — Ce n’était pas la peine de te mettre dans cet état, lui dis-je sévèrement ? Ton nouveau patron déchirerait ton contrat s’il te voyait ainsi.
    — Bah, tu fais chier. Tu… tu vois ma chérie, j’vais gagner au moins le double. Et j’t’emmerdrai plus, j’serai parti toute la semaine…
    
    Je lui ai tenu la tête au-dessus des toilettes, la moitié de la nuit, le temps qu’il ait tout vomi. Patricia était désespérée. Le lendemain, elle me confia son immense inquiétude.
    
    — Ce n’est pas parce qu’il change de boulot qu’il va arrêter, me dit-elle. Et un jour, ce sera grave.
    — Ah, tout de même, avec de nouvelles responsabilités et un travail très prenant, il peut, peut-être, encore réagir et s’arrêter…
    — Je n’y crois plus. Lorsque nous étions encore dans notre appartement, de temps en temps ses copains venaient les soirs de match de foot. Déjà, nous avions des difficultés financières, j’étais obligée de rogner sur tout. Mais pour ça, il commandait des pizzas et achetait des packs de bière. Cent euros la soirée, vous croyez ça raisonnable ?
    — Non, ...
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