1. Adeline, Yannick et Patricia


    Datte: 28/03/2024, Catégories: fh, hplusag, couple, alliance, caresses, entreseins, Oral pénétratio, fsodo, diffage, prof, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... grotte mais hélas, il n’y avait pas de chambre à deux lits, sauf des lits d’enfants. Nous voici donc dans le même lit. Je la sentais tendue comme une corde de piano.
    
    — Allons, détendez-vous. Je ne suis pas le grand « léchant mou » et je ne vais pas vous dévorer toute crue.
    — Non, ce n’est pas ça, murmura-t-elle. Vous ne comprenez pas. Je vous ai dit que j’avais déjà croisé le loup. En fait, j’ai eu une jolie histoire d’amour, pendant deux ans, avec un garçon plus ou moins choisi par mes parents. Un prof de musique, très fin, très cultivé, excellent musicien, pas très beau cependant. Mais je me sentais bien avec lui. Il jouait pour moi, je l’écoutais des heures sans me lasser. Et puis de baisers en caresses, nous avons fini par avoir envie de faire l’amour. Là, il m’a redit ce que l’on m’avait appris, qu’il faut rester vierge jusqu’au mariage. Mais comme j’insistais pour me débarrasser de cette virginité encombrante, il a accepté de me faire l’amour mais… d’une autre façon. Vous voyez ce que je veux dire ?
    — Euh… Je crois, oui. La sodomie ? Mais ce n’est pas un péché, ça ?
    — Il m’a dit que ce n’était un péché que chez les catholiques. Et donc il m’a fait l’amour par là. Oh, avec d’infinies précautions et beaucoup de douceur. Je n’ai pas eu mal, sans plus. Jusqu’au jour où, n’y tenant plus, j’ai pris « la chose » en main et j’ai changé d’orifice. J’étais ravie d’être enfin femme, il était furieux, disant que ce n’était pas une union bénie par Dieu et qu’on aurait dû ...
    ... attendre d’être mariés. De ce jour, son attitude a commencé à changer, alors que nos parents, enfin mes parents et sa mère veuve, préparaient déjà les fiançailles officielles.
    — Et puis ?
    — Et puis quelques jours avant ces fiançailles, heureusement privées, j’ai reçu un courrier de lui disant que notre relation ne pouvait plus continuer, qu’il était tombé amoureux de quelqu’un d’autre.
    — Merde. Excusez-moi, ça m’a échappé…
    — Oui, mais il y a pire. J’étais furieuse, encore plus par sa lâcheté de ne pas me l’avoir dit en face. Je suis allée chez lui comme une furie en hurlant : « où est-elle, cette traînée, que je lui arrache les yeux ! »
    — Ah ! Je ne vous imaginais pas colérique à ce point, vous si douce…
    — Je crois que c’était ma première et ma dernière vraie colère. Et là, il m’a tout avoué : la « traînée » en question s’appelait en fait Jean-René…
    — Oh merde ! Et même merde-merde-merde et re-merde !
    — Comme vous dites ! Je me suis dégonflée comme une baudruche et je suis allée pleurer toutes les larmes de mon corps. J’aurais dû m’en douter plus tôt, le sentir, avec le recul c’est facile. Il vivait avec maman, il voulait bien me sodomiser mais pas me faire l’amour normalement, son attitude maniérée, si « distinguée » comme disait ma mère…
    — Ma pauvre, je comprends que vous soyez méfiante.
    — Oui, souvenez-vous quand vous m’avez dit que vous n’étiez pas attiré par les femmes noires. Pourtant, vous n’avez pas de comportement maniéré.
    — Ben non, hein. « Moi y en a hétéro ...
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