Vengeance d'une femme trompée (2) - Histoires de Sexe

Vengeance d'une femme trompée (2)

... une capote dans la voiture, elle a oublié et a une folle envie de baiser.

-Euh.. ok si c’est elle qui demande »

Je sortis de la boite et arriva dans la voiture. Sur le tableau de bord, une capote avait été laissée délibérément avec un mot à côté :

« Apporte moi cette capote pour qu’un inconnu puisse sauter la petite chatte de ta femme. Tu sais celle que tu n’as plus le droit de toucher. Lui aura tous les droits. Pense à mes pieds, ce soir tu en profitera peut-être »

Ce mot me faisait presque bander, je n’avais jamais vraiment fantasmer sur ces pieds, mais ils devenaient le premier graal qui me serait offert pour mes efforts. J’en avais tellement envie désormais.. Je ne pensais plus qu’à ça, même si cette capote était destinée à un autre homme.

Je re-rentrais dans la boîte et rejoignais ma femme pour lui donner discrètement le préservatif.

« Merci mon Cocu ! Tu es un gentil mari ! Va m’attendre au bar. Cria-t-elle sur le dance floor. »

Tous les mecs autours, qui pensaient encore que j’étais son ami homo, étaient choqués. J’étais rouge de honte et retourna au bar. Toute la bande riait aux éclats en me montrant du doigt pendant que ma femme s’était absentée dans les toilettes avec son amant « éphémère ».

J’enchaînais les verres pour oublier ma situation. Presque une heure plus tard, elle revint me voir.

« C’était trop bon ! Tu as gagné ton premier droit. Mais tu as beaucoup bu !! C’est toi qui devait conduire imbécile ! Et moi aussi j’ai trop bu ! ...

... Comment on va rentrer maintenant ?? Suis moi j’ai une idée »

Elle retourna voir le groupe de potes. Celui qui venait tout juste de se faire ma femme racontait tous les détails aux autres, comment elle mouillait énormément, ou comment elle avait couiné quand il avait inséré un doigt dans son cul en la baisant.

Il s’arrêta quand il nous vu.

« Mon idiot de mari a trop bu et ne peut plus conduire. Est-ce qu’un de vous peut nous conduire avec notre voiture, il aura tout ce qu’il voudra pour le reste de la nuit. »

Ils étaient tous partant. Ma femme en choisit un en disant aux autres qu’elle voulait une nouvelle queue qu’elle ne connaissait pas.

Le chanceux me regarda d’un air hautain, je n’aimais pas du tout.

« T’as de sacrés cornes toi. Tu vas l’entendre gueuler »

Il prit ma voiture et démarra en trombes. Nous arrivèrent sacrément vite chez nous. Ils filèrent dans la chambre tandis que je les suivais.

« - Tu veux aussi assister au spectacle le cocu ?

— Oui laisse le rentrer, il a le droit de s’amuser avec mes pieds, alors que toi tu as tout les droits sur le reste de mon corps..

— Allez ça me va, mais ne me gêne pas le cocu, va t’asseoir, elle te fera signe quand tu pourras venir »

Je disais aucun mot. On décidait pour moi. Je m’assis en face du lit, en désirant au plus haut point de masser et d’embrasser ses pieds..

Le mec, dont on ne connaissait même pas le prénom, ordonna à ma femme de se foutre à poil et de se mettre à genoux pour le sucer ...