Vengeance d'une femme trompée (2) - Histoires de Sexe

Vengeance d'une femme trompée (2)

Merci pour vos like et vos commentaires. Voici la suite qui j’espère vous plaira..

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Le lendemain, samedi, je prépara un petit déjeuner au lit pour nous deux.

« -Ohh c’est mignon. Merci. Par contre je vais être plus clair, tu viens sur ce lit uniquement si je te le demande. Ta place dans cette chambre est la chaise pour me regarder ou par terre. Va manger là bas. »

Encore une fois je me sentais humilié. Je parti sur la chaise avec mon jus de fruit et mon pancake. Tandis qu’elle prenait son petit déjeuner je voyais une de ses jambes nue en dehors de la couette. Je bandais en l’espace que quelques secondes. Quelle belle femme j’avais ! Je la désirais comme jamais, le fait de ne plus y avoir droit amplifiait tous mes désirs.

Nous partîmes dans la journée faire du shopping. Enfin un genre de shopping que nous n’avions jamais fait, dans un énorme sex shop.

Elle essayait pas mal de trucs, suivie de près par un vendeur. Je la suivais sans rien dire. Elle prit une combinaison en résille, qu’elle essaya en presence d’un vendeur. Elle était complètement nue en dessous. Puis plusieurs tuniques tellement courtes qu’il suffisait d’être assis à côté pour avoir une vue dégagée sur son intimité.

Lorsqu’elle changea de rayon c’était pour celui des accessoires. Elle demanda des conseils pour un gode télécommandé par smartphone et pris un plutôt gros, qui pouvait se garder une journée entière et s’adapter aux deux orifices.

Elle vit alors les cages de ...

... chasteté.

« Je veux qu’il ait ça ! Cria-t-elle dans le magasin. Les clients se retournèrent vers elle, puis inévitablement vers moi.

— Le modèle depend de la taille du sexe, madame.

— Descend ton froc pour qu’on puisse choisir »

J’étais choqué et complètement tétanisé.

Elle s’approcha de moi, et tira d’un coup sec sur mon jean et mon caleçon pour m’exhiber en plein milieu du magasin.

« Ok je vois, c’est pas très grand, vous pouvez prendre le modèle medium, il aura un peu de place pour être à l’aise si jamais il est vraiment excité, dit le vendeur.

— Très bien. Je prend le Small alors, je veux qu’il ait mal s’il essaie de bander sans mon accord. »

Arrivés à la caisse, elle dit à la vendeuse de lui donner également une centaine de capotes.

« Monsieur est chanceux, répondît la vendeuse.

— Pas une seule de ces capotes sont pour lui. Lui il assiste et c’est tout. »

Elle rigolèrent ensembles. J’étais plus bas que terre.

Nous rentrions en fin d’après-midi à l’appartement. Dans le couloir de l’immeuble, juste devant notre porte, Alexia me dit de baisser mon pantalon et mon caleçon immédiatement. Je baissais timidement mon bas en regardant qu’aucun voisin ne passe.

Elle se mit à genoux et fouilla dans son sac pour prendre la cage tout juste achetée. Elle me la fixa et accrocha la clef sur son collier. On rentra ensuite dans l’appartement.

J’avais presque du mal à marcher, cela n’était pas du tout agréable. Je sentais que ce serait très douloureux si ...