1. En retard, comme toujours


    Datte: 24/03/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Julie Moelle, Source: Hds

    ... dis oui parce que tu as envie de me sauter », protesta-t-elle avec une parfaite mauvaise foi.
    
    Que faisait-elle là, cette salope si elle n’avait pas envie de se faire sauter ? Elle avait traversé Paris en lâchant du foutre sur tous les trottoirs comme le petit Poucet semait des cailloux, et telle que je la connaissais, elle avait fait en sorte que ça se remarque. Si j’avouais mon envie de la fourrer comme une truie je passais pour un gros porc et si je niais, pour un gros hypocrite. Et je m'en voulais d'hésiter encore à ce moment où mes sens auraient dû décider à ma place de ce que je devais faire à cette roulure ! Si ça se trouve, une meute de mâles en rut l’attendait au pied de mon immeuble pour la baiser dans le sous-sol les uns après les autres ou bien tous à la…
    
    « De toute façon tu es un gros porc dégueulasse et tu es prêt à faire n’importe quoi pour me baiser. »
    
    Pourquoi les gens posent-ils toujours des questions dont ils connaissent la réponse ?
    
    « Alors lèche, nettoie et avale. »
    
    Allons bon ! Je contemplai les glaires jaunâtres qui suintaient de son anus, et se mélangeaient au yaourt que bavait son con ; comme un chien je flairai la mouille, la merde, la sueur et le foutre. Le dégoût me submergeait lorsqu'une larme claire tremblant à son clitoris finit par m’émouvoir ; alors je ne vis plus que le ...
    ... fouillis obscène et délicieux. J’enfonçai mon visage dans ce magma où je bâfrai tout mon soûl.
    
    Des profondeurs de son con montaient de grasses larmes blanches que ma langue traquait dans les replis de sa chatte. Tout un flot débordait de son anus distendu qu'elle m'ouvrait de quatre doigts crochés entre ses fesses. Je gobai, j'aspirai, j'avalai de toutes mes forces.
    
    Un seul homme pouvait-il produire tant de semence fut-ce après trois semaines d'abstinence ? N'étaient-ils pas plusieurs, ses amants ? Trois , quatre ou tout un bataillon ?
    
    Plutôt que de lui poser la question - après tout, j'avais la bouche pleine - je m’allongeai sur le parquet. Elle s'accroupit et mit à tremper dans ma bouche ses lèvres tuméfiées pendant sous elle. Je les aspirai si fort qu'elle cria en jouissant. Un jet de pisse se mêla au cloaque qui me baignait les amygdales.
    
    Les yeux vitreux, elle tenait à peine sur ses jambes quand je la forçai à se lever. Plus morte que vive, elle entrouvrit les lèvres et sa langue s'enroula à la mienne. Le philtre maléfique qu'elle y recueillit lui rendit la vie et elle noua ses jambes à ma taille. Comme trente-six mille soudards mettant Moscou à sac, j’entrai dans ses béances et foulai tout au fond, son âme avec les matières ignominieuses que contenait son ventre, tandis que son anus postillonnait de petits pets. 
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