1. La tente au fond du jardin


    Datte: 06/03/2018, Catégories: fh, vacances, campagne, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral 69, pénétratio, fsodo, mélo, Auteur: Chercheur d'absolu, Source: Revebebe

    ... regardèrent tous les deux car ils étaient comme nus, l’eau avait collé le peu de vêtement qu’ils avaient sur le corps et Eric vit la poitrine aux aréoles larges et aux pointes saillantes à travers le t-shirt de Kristia ainsi que les poils pubiens d’une blondeur qui cachait à peine son sexe. Celle-ci avait baissé les yeux sans gène et regardait celui d’Eric qui était épais et qui apparaissait à travers le caleçon mouillé.
    
    Eric sourit et dit : « Eh bien, nous voilà intimes. » Elle comprit l’allusion et rigola. Puis il lui dit de monter à l’étage pour se sécher. Il prit le sac à dos et la suivit. Il releva les yeux et regarda le magnifique fessier qui transparaissait sous le tee-shirt détrempé. Kristia se retourna et voyant qu’Eric la regardait, elle accentua d’une démarche chaloupée le balancement de ses fesses. Eric lui lança :
    
    — Il ne faut pas faire de choses comme ça devant un homme à moitié nu, je risque de prendre ça comme une invitation.
    
    Tout en montant et sans le regarder, elle dit :
    
    — Mais c’est toi qui m’invite.
    
    Il la pria de venir dans sa chambre afin de lui donner une serviette sèche. Elle le suivit. Il en attrapa deux dans l’armoire et en donna une à Kristia. Sous ses yeux éberlués, elle se retourna, retira sa chemise et se frotta avec la serviette. Elle était tellement belle, si désirable qu’il ne put contenir un début d’érection. Elle était là, nue devant lui, dans sa chambre, s’offrant naturellement. Il s’approcha d’elle, prit sa propre serviette ...
    ... et la posant sur son dos la frotta doucement jusqu’aux hanches. Elle se laissait faire.
    
    Puis quand elle fut sèche, elle se retourna et le sécha à son tour de sa serviette. Ils étaient les yeux dans les yeux se regardant profondément. Il distingua comme des gouttes dans ceux de la jeune femme, mais ne sut pas si c’était la pluie ou des larmes. Ils approchèrent leurs bouches et en se prenant la taille mutuellement, s’embrassèrent. Eric sentit la poitrine ferme et épaisse sur son torse et les baisers d’abord presque chastes devinrent de plus en plus accentués, puis, le désir montant, fougueux et brûlants.
    
    De temps en temps ils s’arrêtaient, se regardaient, souriaient, les yeux enflammés pleins d’amour et s’embrassaient de nouveau, avec à chaque fois plus de force dans l’étreinte de leur corps. Elle sentait, à travers son caleçon mouillé, le sexe d’Eric prendre du volume, et plus il s’épaississait plus elle se serrait contre, ne pouvant déjà plus s’empêcher de s’y frotter. Les mains d’Eric parcouraient les seins de Kristia, agaçant les pointes du bout des doigts puis, glissant ses mains dans le dos, il les montait et les descendait vers ses fesses, les caressant au passage. Une main parfois s’aventurant entre les fesses. Puis, des deux mains cette fois-ci, il glissa sous ses fesses et comme en harmonie tandis qu’il la soulevait, elle se cramponnait des deux bras à son cou et des deux jambes à sa taille, collant son pubis humide sur le ventre d’Eric.
    
    Il la porta jusque sur ...
«12...567...15»