1. La tente au fond du jardin


    Datte: 06/03/2018, Catégories: fh, vacances, campagne, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral 69, pénétratio, fsodo, mélo, Auteur: Chercheur d'absolu, Source: Revebebe

    Eric était parti depuis treize ans à la capitale pour travailler comme ouvrier dans une usine de plastique. Il était resté célibataire, à trente et un ans, malgré quelques belles histoires qui auraient pu changer sa vie. Mais aucune d’elles ne l’avait satisfait complètement. Il ne savait pas ce qu’il recherchait réellement dans une relation, mais le manque de fantaisie était ce qui lui avait manqué dans les précédentes, ainsi que la complicité, le partage, la tendresse et surtout la compréhension mutuelle lui semblaient nécessaires à son équilibre. En fait, il n’avait pas trouvé la femme de sa vie, celle qui bouleverserait son existence.
    
    Il était resté physiquement assez jeune, malgré une tonsure naissante, et les yeux verts qu’il tenait de son père lui donnaient un certain charme qui ne laissait pas les femmes indifférentes. Il venait d’arriver chez sa mère, pour les vacances, dans son petit village natal situé dans les profondeurs du Cantal. Thérèse, sa mère, était fermière et vivait d’une petite rente depuis le décès de son mari. Pour mettre du beurre dans les épinards, elle vendait, grâce à des voisins maraîchers, un peu des produits de son jardin, quelques œufs, quelques lapins et volailles, parfois des confitures faites à la maison.
    
    Eric, en arrivant, vit la tente igloo plantée dans le fond du pré. Il questionna sa mère qui lui dit que c’était une touriste allemande, arrivée la semaine précédente en train puis à pied de la ville située à 10 kilomètres, et qui lui ...
    ... avait demandé si elle pouvait camper sur son terrain pour le temps de ses vacances. Elle rajouta que c’était une brave jeune fille très jolie qui lui achetait des fruits et des légumes. Elle s’appelait Kristia. Eric approuva de la tête et rentra ses bagages dans la maison.
    
    Ce soir-là, Thérèse avait préparé du lapin pour le plaisir d’Eric qui n’avait jamais l’occasion d’en manger à la Capitale. À peine le repas commencé que quelqu’un frappa à la porte. Thérèse se leva et se dirigea vers la porte de la cuisine qui donnait sur la cours de la ferme.
    
    — Ça doit être Kristia, elle vient me voir parfois le soir et nous discutons.
    
    Effectivement c’était elle.
    
    Quand elle entra, Eric leva les yeux et quand il la vit son cœur bondit dans sa poitrine. Il avait en face de lui une fille magnifique, d’au moins un mètre soixante-quinze, très blonde, avec un regard d’un bleu marin qui lui donnait de la profondeur. Il faillit s’y noyer, surtout qu’elle le regardait également dans les yeux, comme en ont l’habitude les filles du nord de l’Europe. Le temps suspendu parut durer une éternité. Puis elle dit avec un accent à peine prononcé :
    
    — Bonjour, je suis Kristia.
    
    Eric se leva, serra la main blanche et douce que cette beauté du froid lui tendait, tout en continuant de la regarder profondément.
    
    — Bonjour, je suis Eric.
    — Vous êtes le fils de Thérèse, je suppose, votre mère m’a parlé de vous.
    
    Eric se retourna vers sa mère, interloqué. Elle ne répondit pas à son regard, mais ...
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