1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1616)


    Datte: 17/03/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... cette luminosité qui m’attirait, et dès lors que la lumière enveloppait ce lieu autant étrange qu’extraordinaire, je me retrouvais dans un autre monde avec tout proche de moi, un couple enlacé, un homme et une femme, tous les deux nus, baisant sans retenu près d’une fontaine sur une immense place vide. Ils copulaient bestialement, elle, allongée sur le dos, les cuisses grandes ouvertes se laissait forniquer par cet homme laid et trapu qui la pénétrait sans douceur et en la tenant fermement par les seins. On aurait dit un porc dans son comportement bestial… Le visage de cette femme était habité d’un sourire terrifiant, inhumain tant elle semblait prendre du plaisir, à se faire baiser aussi sauvagement par cette grosse queue dressée qui entrait et sortait de son sexe à grands coups de reins. A chaque mouvement de hanches de son copulateur, tête en arrière, yeux révulsés, elle lâchait un gémissement rauque, puissant, puis avec une force inouïe redressait et relevait son torse du sol, telle une chienne en chaleur soulevant son bassin avec frénésie en tirant une langue avide qu’elle espérait glisser dans la bouche de ce mâle en rut la chevauchant sans concession. Lui, la giflait violemment, la renvoyant au sol pour mieux la ramoner et la baiser encore.
    
    La femelle lâchait sa mouille abondante le long de ses cuisses tandis qu’elle hurlait, des hurlements sauvages d’agonie, de douleur, d’horreur, de joie, de plaisir. Elle gueulait qu’elle voulait de la bite, qu’elle voulait qu’on ...
    ... lui démonte la chatte et le cul en même temps… Je la regardais fixement mais elle ne me voyait pas… Mon regard ne pouvait lâcher le sien, même si derrière moi j’entendais un ensemble de cris confus, celui d’une foule acclamant, vociférant, un tumulte incroyable qui s’approchait lentement… J’avais douloureusement mal à ma nouille, je bandais comme un taureau en rut. Mais impossible de me branler, mes mains étaient maintenues dans mon dos par d’autres mains puissantes, m’empêchant de bouger, m’obligeant à me retourner et à faire face à l’invraisemblable, à l’inconcevable. Là, désormais, face à moi toute une meute se rassemblait. Des corps nus, luisants de salive, de cyprine et de foutre, escaladaient un escalier de pierre, rampaient les uns par-dessus les autres, braquant sur moi leurs yeux avides, tendant leurs mains ouvertes comme pour y recevoir un présent. Cette meute en rut avançait, poussait des gémissements jouissifs, émettait des cris insupportables dignes d’être entendus dans une extrême luxure orgiaque mêlant sexe et perversité.
    
    Quelle étrange vision, ces corps nus, qui se trainaient, ces langues qui s’embrassaient, ces bouches grandes ouvertes, pleines de salive de cyprine et de foutre, ces corps en rut intense, en chaleur excessive, n’étaient plus qu’à quelques centimètres de moi. Impossible de bouger quand des mains tremblantes s’approchaient de mon visage… Un homme jeune, aux yeux foncés et gourmands se penchant en avant, enivré, son énorme pieu de chair bien ...