1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1616)


    Datte: 17/03/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode N°1612 -
    
    Chapitre 37 : Du rêve à la réalité –
    
    - Oui Maître !, osais-je répondre …
    
    Un peu plus tard, j’évoluais en quadrupédie dans une brume froide, incapable de comprendre ce qui m’arrivait, incapable de reconnaitre le lieu m’entourant. J’errais lamentablement, rampant comme un chien. Je grelotais parce que nu, totalement nu, comme au premier jour de ma naissance, sans aucun accessoire sur mon corps. J’avançais lentement, passant entre deux bâtiments inhabités, totalement délabrés, presque en ruine. J’avançais encore, plus rapidement, sans savoir pourquoi, sans savoir où, dans cette brouillasse blanche et humide qui au fil de ma progression devait vapeur d’eau chaude. Maintenant, je commençai à suer, de grosses gouttes perlaient de mon front, je n’avais plus un cheveu de sec, les paumes de mes mains devenaient humides, moites comme mes pieds, mes aisselles et mon cul. Je tentais de me rapprocher de cette vive lumière au fond de cette ruelle étroite et sans fin, malgré cette douleur persistante au niveau de mes couilles… Mon dieu, que j’avais mal ! Plus j’allais de l’avant et plus j’avais l’impression que quelqu’un s’agrippait à mes burnes comme pour me retenir et m’empêcher d’aller plus loin. Pourtant, personne derrière moi, mes couilles libres ballotaient naturellement entre mes jambes…
    
    Où étais-je ? Pourquoi étais-je seul ici ? Je tentais de me redresser ...
    ... mais à cet instant je sentais s’abattre sur mon dos un coup de fouet terriblement douloureux, puis un autre sur mon cul, puis d’autres encore et encore, jusqu’à ce que ces coups s’arrêtent et que je reste allongé au sol, immobile et sanglotant. Mais c’était plus fort que moi, malgré le supplice enduré, il fallait que j’avance encore et toujours, c’était comme si tout mon être contrait la douleur en la muant en désir, comme si le feu dans ma peau, plutôt que de me consumer me faisait battre le cœur et me transcendait. Oui, j’étais bel et bien en transe… Ma poitrine s’emplissait de tout un réseau de plaisirs qui descendait jusqu’au creux de mes reins, où il restait enfoui, durcissant ma nouille et gonflant mes couilles toujours douloureuses, comme un signal impensable et inimaginable. Il fallait que j’atteigne cette lumière ! Elle était là à une vingtaine de mètres seulement, perçant cette espèce de fog londonien si épais… Il le fallait car je savais que celle-ci serait chaude et bienfaitrice. Elle l’était… une sensation étrange montait dans mon corps, conquérant d’abord mon bas-ventre, puis mon torse, mes omoplates et enfin ma nuque…
    
    C’était comme une chaleur relaxante et réconfortante, un massage tendre qui provenait de l’intérieur de mes cuisses, qui augmentait, remontait et se propageait jusqu’à la racine de mes cheveux. Sans comprendre, sans explication, tout près de moi, sitôt après avoir quitté cette ruelle infâme et presque opaque d’un brouillard laissant passer juste ...
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