1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1604)


    Datte: 17/03/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... Markus ne me laissait guère le temps d’hésiter beaucoup plus. Il donnait un coup sec sur la corde reliée à mes burnes, qu’il tenait en main. Je sursautais et gémissais bruyamment, soufflé par la brusquerie de l’attaque.
    
    - Lèche ! Je te dis !, imposait-il sans concession
    
    Alors sans hésiter, selon ses instructions initiales, je m’appliquais sur chacun de ses orteils. Une fois le pied gauche terminé, il me tendait le droit. L’odeur me saisissait de nouveau, me faisant alterner entre l’écœurement et la délectation. Lui, jubilait, son ventre poilu, sa bite tendue, ses couilles pendantes, la base de ses cuisses velues à portée de mon visage et de ma bouche me plongeaient dans une ivresse incommensurable. Markus dégageait son pied et agrippait ses doigts dans ma chevelure, me soulevait ainsi la tête et engouffrait sa queue dans ma bouche et la poussait d’un coup jusqu’au bout, jusqu’à la garde, ses couilles pendantes tapant contre mon menton, mon nez collé à son pubis blond aux odeurs de mâle, mélange de transpiration, d’urine, peut-être de sperme. Odeurs qui s’attachaient à ces burnes secrètement et chaudement contenues des heures durant dans un slip. Ces fragrances intimes me montaient aux narines, et me plongeaient dans un trouble qui me rappelait celui qui m’avait toujours saisi depuis l’adolescence, dans les vestiaires où mes camarades se dévêtaient après un effort sportif où les maillots trempés y laissaient la place aux corps suants et dénudés, dont les poils qui les ...
    ... recouvraient bouclaient sous l’effet de la transpiration tout en m’envoyant des signes olfactifs dont il m’était souvent difficile de maîtriser les effets sur l’état de ma nouille. Une expérience que j’avais finie par adorer : Inspirer profondément ces odeurs aphrodisiaques, pour en retirer tous les plaisirs, tout en ordonnant à ma nouille de garder une position qui me permettait d’aller me doucher… Tout un art ! Aujourd’hui, je pouvais simplement me laisser aller à inspirer au plus profond de mes poumons l’odeur que cette queue ruisselante m’envoyait, sans me soucier de l’effet produit sur mon bas-ventre…
    
    Markus se retirait de ma bouche, et empoignant son sexe, il commençait à se masturber devant moi. D’une main, il se caressait les couilles, de l’autre, il allait doucement sur son chibre par des vas-et-viens lents. A cet instant, deux mains se posaient sur mes lobes fessiers, les écartant plus encore.
    
    - Le cul de Ma petite salope est incroyable, super ouvert !… Pensez-vous qu’il soit près, mon cher Markus ?
    
    - Oh oui, je le pense, voilà trois quart d’heure que le cul de votre pute est contraint, tenu écarté, lui répondait Markus
    
    Je venais de reconnaitre la voix du Maître… Il me retirait cet engin me tenant le cul ouvert. J’avais l’impression que celui-ci allait exploser, me laissant complètement vide. Peu après, Monsieur le Marquis m’enfonçait deux doigts qui entraient dans mon intimité sans aucune difficulté, à peine si je les sentais. Le Châtelain en ajoutait un ...