1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1604)


    Datte: 17/03/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... probable sodomie à venir, mais sodomie était peut-être trop lexicale, pour ce qui se préparait. Markus semblait terriblement excité, je l’entendais haleter, souffler et respirer de plus en plus fort. Markus allait peut-être m’enculer sauvagement, me fourrer, me défoncer, me détruire le cul ? Mais contre toute attente, il retirait ses doigts, puis pointait immédiatement après, un objet métallique, froid, contre mon œillet… L’objet me pénétrait et une fois en place, s’écartait.
    
    - Avec ce spéculum-écarteur bien planté dans ton cul de bâtard, je vais bien dilater ta chatte de mâle, petite salope !
    
    Il n’y avait plus d’alex… Markus venait subitement de me reléguer au rang qui était le mien. Je le subissais, il me dominait. Il s’était relevé d’entre mes jambes pour me placer des bracelets en cuir sur chacun de mes membres. Peu après j’étais écartelé, tenu attaché à plat ventre, le cul relevé et béant… peu après encore, il me ligotait les couilles et une fois le lien bien arrimé à celles-ci, je ressentais une douloureuse traction sur mes burnes, projetées à l’arrière et étirées à quarante-cinq degrés vers le haut.
    
    - Je suis gentil avec toi petite pute, je viens t’attacher et suspendre tes couilles à un crochet fixée au plafond et mettre un poids de seulement cinq cents grammes au bout de la corde. Mais tu vas devoir supporter beaucoup plus… J’adore les salopes de ton espèce aux couilles bien pendantes…
    
    Au même moment, je sentais mon trou du cul s’élargir plus encore… ...
    ... Markus venait de donner un tour de clé supplémentaire au spéculum…
    
    - Je suis certain que tu es bien ainsi, je vais donc te laisser pour m’occuper de ce petit bâtard d’Antoine. Lui aussi va connaitre mon côté carnassier.
    
    Avant de m’abandonner, Markus une nouvelle fois m’écartait le cul d’un tour de molette supplémentaire.
    
    - Tu ne vas être qu’un trou, ton cul ne sera qu’un garage à bites !, concluait-il avant de partir, un réceptacle à semences.
    
    Après un temps certain, Markus était de nouveau près de moi. Il libérait la tension sur mes couilles, sans pour autant dénouer la corde qui les entourait. Il m’écartait un peu plus encore le cul puis ôtait le foulard de soie que j’avais toujours sous les yeux. Il était là, nu, assis, près de moi. J’avais juste au-dessus de mon regard la vue contre-plongeante sur l’intérieur de ses cuisses poilues, ses couilles pendantes et sa bite dressée. Une fois qu’il fut satisfait par le sentiment de domination que semblait lui procurer le fait de me surplomber en s’exhibant sans la moindre appréhension, il levait la jambe gauche et m’appliquait son pied sur la bouche et le nez. Il s’en dégageait une odeur assez forte mais pas forcément désagréable.
    
    - Lèche mon pied petite salope, applique-toi sur mes orteils.
    
    Je n’avais jamais été particulièrement à la recherche de ce genre de pratique. J’hésitais donc un peu avant de m’exécuter, pris entre le dégoût et la fascination que me procurait le fait d’être dominé ainsi par cet inconnu. Mais ...
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